Sophie interroge MyJournal.fr : Jusqu’où ira la haine politique de l’extrême gauche en France ? Est-on encore en démocratie quand la presse est prise pour cible dans nos rues ?
👉 L’extrême gauche franchit une ligne rouge !
Le visage tuméfié d’Éléonore Bailly, envoyée spéciale pour Franceinfo TV, a fait le tour des réseaux sociaux en quelques heures. Cette image glaçante résume à elle seule un climat politique et social qui dérape. Ce samedi après-midi à Paris, ce devait être une simple couverture journalistique. Cela s’est transformé en lynchage en plein cœur de la capitale.
Tout avait pourtant commencé sous un ciel gris et une atmosphère électrique. La manifestation pro-Rima Hassan, nouvelle figure de La France Insoumise, battait son plein. Les slogans résonnaient : « Liberté pour Gaza ! Soutien à Rima Hassan ! Stop au génocide ! » Les drapeaux palestiniens s’agitaient. Les pancartes dénonçaient la France, Israël, les médias « complices ».
Dans cette foule compacte de plusieurs milliers de personnes, Éléonore Bailly exerçait simplement son métier. Son matériel, son micro Franceinfo, sa carte de presse : Tout indiquait clairement sa qualité de journaliste. Mais cette fois, cela n’a pas suffi.
Quand la haine se déchaîne
Il est un peu plus de 16h30. Place de la République. Éléonore Bailly se trouve au cœur de la manifestation, micro tendu, caméra en marche. C’est à ce moment qu’un groupe de militants radicaux l’aperçoit.
Le piège se referme en quelques secondes. « Collabo ! Vendue ! Médias de merde ! » Les insultes fusent, accompagnées de regards haineux. Puis tout bascule : Des coups de poing, des gifles. Une bousculade violente. On tente de lui arracher son micro, on lui fait chuter sa caméra. La scène est filmée par d’autres journalistes présents sur place et par des passants médusés.
Éléonore Bailly finit au sol, blessée, choquée. Elle sera exfiltrée par des collègues et les forces de l’ordre, puis transportée en urgence à l’hôpital. Son pronostic vital n’est pas engagé, mais son visage porte les stigmates de la violence aveugle qu’elle a subie.
Une attaque politique, pas un fait divers
Ne nous y trompons pas : Cette agression n’est pas un simple fait divers. C’est un acte politique délibéré. C’est une attaque contre la liberté de la presse. C’est une tentative d’intimidation inacceptable dans un État de droit.
Le fait que cette violence ait éclaté au sein d’une manifestation organisée par des soutiens de Rima Hassan n’est pas anodin. Depuis plusieurs mois, cette candidate soutenue par La France Insoumise cultive un discours de plus en plus radical, flirtant dangereusement avec les lignes rouges de la République.
Son entourage, ses soutiens les plus fervents, n’hésitent plus à désigner les journalistes comme des cibles. Sur les réseaux sociaux, les messages de haine pullulent. Les médias dits « dominants » sont traités de « chiens de garde du pouvoir », de « complices des crimes d’État ». Ce climat empoisonné finit inévitablement par déboucher sur des passages à l’acte.
Le silence coupable de Mélenchon
Face à cette agression, une question brûle toutes les lèvres : Que dit Jean-Luc Mélenchon ? La réponse est glaçante : Rien ! Pas un mot. Pas un communiqué officiel. Pas un tweet.
Comme trop souvent, le leader de LFI choisit de fermer les yeux sur les dérives de son camp. Il laisse prospérer les discours les plus extrêmes. Il laisse ses troupes légitimer la violence, sous couvert de « lutte contre l’oppression ».
Ce silence vaut caution. Il alimente le sentiment d’impunité de ces militants prêts à en découdre. Il fragilise un peu plus la démocratie.
Une escalade inquiétante
Le cas d’Éléonore Bailly n’est pas isolé. Depuis plusieurs mois, les journalistes sont régulièrement pris pour cible lors des manifestations organisées ou soutenues par LFI. Jets de projectiles, insultes, intimidations : Le phénomène prend de l’ampleur.
Plusieurs reporters renoncent désormais à couvrir ces événements par crainte pour leur sécurité. Un comble dans un pays qui se veut l’un des berceaux de la liberté d’expression.
La situation est d’autant plus préoccupante que les discours radicaux se banalisent. On assiste à une véritable entreprise de délégitimation des médias. Dans les cortèges, dans les réunions publiques, sur les réseaux, le même refrain est martelé : « Les journalistes sont des ennemis du peuple ».
La République doit réagir !
Face à cette situation, la République ne peut pas rester muette. Il en va de l’avenir de notre démocratie.
Le ministre de l’Intérieur a annoncé l’ouverture d’une enquête. Les auteurs de l’agression doivent être identifiés, arrêtés, jugés. Et la justice doit frapper vite, et fort.
Au-delà de la répression pénale, c’est un véritable sursaut républicain qui s’impose. Les responsables politiques doivent dénoncer sans ambiguïté ces violences. Ils doivent rappeler que la liberté de la presse est un pilier de notre société.
Il est temps que Jean-Luc Mélenchon prenne enfin ses responsabilités. Il est temps qu’il condamne clairement les dérives de son camp. À défaut, il en portera la responsabilité morale.
La liberté d’informer est en danger : Il est temps d’agir !
L’agression d’Éléonore Bailly est un signal d’alarme.
Ce qui s’est passé samedi à Paris n’est pas un simple incident. C’est une attaque contre les fondements mêmes de notre République.
Si nous tolérons cela aujourd’hui, que tolérerons-nous demain ?
Soutien total à Éléonore Bailly et à tous les journalistes menacés.
La liberté d’informer ne se négocie pas. Elle se défend, coûte que coûte.
👉 Assez de lâcheté. L’autorité doit parler, et agir !
Je suis effondré 😢.
J’ai 67 ans et je n’aurais jamais cru voir ça en France 🇫🇷 : Une jeune journaliste agressée en plein reportage ! Une scène de violence 🛑 qui nous renvoie aux heures sombres 🕳️ de l’Histoire.
Je veux le dire haut et fort 📢 : Il n’y a pas de démocratie sans liberté de la presse 📰. On ne peut pas tolérer ça. C’est un devoir républicain que de défendre nos journalistes.
Et que dire du silence de certains élus ? 🤬 Quelle honte. Quelle lâcheté.
Je le dis solennellement : La République doit réagir. Il y a des lignes rouges 🚫 qu’on ne franchit pas.
Mon soutien total à cette courageuse journaliste et à tous ceux qui défendent l’information libre 🙏
Non mais c’est quoi ce délire ??? 😡😡😡
Une journaliste en plein live 📺 qui se fait frapper par des militants 😱. Franchement j’ai vu ça sur Insta et j’ai cru à un fake… mais non, c’est bien réel 😵.
On est en France, pas dans un régime totalitaire 🤬 !
Moi je dis stop 🛑. Je veux pas vivre dans un pays où on tape sur les journalistes pour faire taire les infos. C’est grave !
Et voir certains politiques qui disent rien 🙄… franchement c’est flippant.
Faut que ça se sache, faut que justice soit faite ⚖️. On lâche rien ✊ !
Je suis 😱 choqué… vraiment. Une journaliste qui se fait tabasser en direct 😢, à Paris 🇫🇷, en 2025… On marche sur la tête 😵 !
Je viens de voir la vidéo sur les réseaux 📲… c’est insoutenable. J’ai mal au cœur 💔. Qu’on puisse en arriver là en France, pour des idées politiques, c’est tout simplement honteux.
Peu importe qu’on soit d’accord ou pas avec la presse 📰, on n’a pas le droit de cogner sur quelqu’un qui fait son travail.
Et en plus, le silence de certains élus 🤐… mais où va-t-on ? J’ai vraiment peur pour notre démocratie.
On est en train de franchir un cap dangereux ⚠️.
Aujourd’hui c’est une journaliste, demain qui ? 😨
Je suis encore sous le choc en voyant ces images… On vit dans quel pays, sérieusement ? Une journaliste, en plein direct, en train de faire son métier, se fait agresser comme ça, à coups de poing, devant des centaines de personnes ! Et ça se passe dans les rues de Paris, pas dans une dictature lointaine…
Je n’ai rien à voir avec Franceinfo ou avec le monde des médias. Mais là, franchement, ça me glace le sang. On peut ne pas être d’accord avec un journaliste, avec un média. Mais on n’a pas le droit de lever la main sur quelqu’un qui informe. C’est le socle même de la démocratie qui est en train de s’effriter sous nos yeux.
Et le pire dans tout ça ? C’est le silence assourdissant de certains politiques. Pas un mot pour condamner clairement. Pas une prise de position ferme. On est en train de banaliser cette haine anti-presse et ça finira très mal.
Je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai peur pour notre liberté. Aujourd’hui c’est une journaliste, demain ce sera qui ? On est en train de perdre pied… Il faut que ça cesse, maintenant.