Pourquoi le budget 2026 ne prévoit-il aucune mesure d’économie ni de réduction des dépenses liées à l’immigration en France ?
Une promesse de rigueur… transformée en pluie d’impôts
Le projet de loi de finances pour 2026, dévoilé par le gouvernement, devait incarner la rigueur. Il révèle au contraire une avalanche de hausses d’impôts pour les contribuables français, et un silence assourdissant sur un sujet pourtant majeur : La dépense liée à l’immigration.
Selon un éditorial du Journal du Dimanche, l’« angle mort » du budget n’est ni mentionné, ni chiffré. Résultat : La fracture entre classes moyennes et dépenses publiques se creuse encore davantage.
Une fiscalité poussée à son paroxysme
Le document budgétaire acte la fin du gel de certaines hausses. Le barème de l’impôt sur le revenu reste figé, la taxe sur les mutuelles est réintroduite, une surtaxe touche les grandes entreprises, les franchises médicales augmentent, et plusieurs niches fiscales sont rabotées. Ce sont principalement les salariés, les familles et les épargnants — bref, ceux qui produisent — qui voient leur fardeau s’alourdir.
👉 En résumé : La rigueur se transforme en matraquage fiscal.
Le grand tabou de l’immigration
Pendant ce temps, l’autre volet du budget — celui des dépenses liées à l’immigration — reste totalement évacué. Le mot « immigration » n’apparaît ni dans les grands chapitres du budget, ni en titre de poste, ni même dans les annexes détaillées.
Pourtant, plusieurs postes y sont directement rattachés : L’Aide médicale d’État (plus d’un milliard d’euros), l’hébergement d’urgence, l’Allocation aux demandeurs d’asile, le RSA, la prime d’activité, les frais juridiques ou encore les dépenses de scolarisation.
Toutes ces sommes irriguent les domaines de la santé, du logement, de l’éducation et de la sécurité. D’où ce constat tranchant : Impôts partout, immigration nulle part.
Un message politique assumé
L’édito du JDD ne se contente pas d’un constat chiffré. Il dénonce un choix politique : celui d’imposer toujours plus les classes moyennes tout en évitant soigneusement d’ouvrir le débat sur le coût réel de l’immigration.
Une attitude que l’auteur qualifie de « lâcheté budgétaire » : un pouvoir fort avec les faibles, mais faible avec les tabous.
La rigueur s’impose aux contribuables, mais pas aux dogmes politiques.
Trois conséquences directes pour les Français
- Une crise de confiance : Les salariés estiment que les efforts collectifs ne concernent jamais tout le monde. L’État-providence devient peu à peu une machine à punir ceux qui travaillent.
- Un déficit démocratique : L’absence de transparence sur les dépenses liées à l’immigration affaiblit le débat public.
- Une pression fiscale record : Entre impôts, taxes et contributions, ceux qui produisent la richesse nationale sont les plus touchés.
En résumé
Le budget 2026 marque un tournant politique et fiscal. Davantage de prélèvements, moins de transparence, et toujours le même tabou. Ce projet de loi de finances, présenté comme rigoureux, oublie volontairement un pan entier des dépenses publiques : celles liées à l’immigration.
Les Français, eux, voient leurs charges augmenter, leur pouvoir d’achat diminuer, et leur confiance envers l’État s’éroder.
👉 Cet éditorial, publié par Le Journal du Dimanche, relance un débat essentiel : Peut-on parler de rigueur budgétaire lorsqu’une part des dépenses publiques échappe à toute visibilité ?