Cette tragédie oubliée qui a bouleversé la vie d’Éric Dupond-Moretti
Derrière l’homme de loi au caractère de fer se cache une blessure ancienne, un drame familial si profond qu’il a changé à jamais le cours de sa vie. Aujourd’hui, il ose enfin lever le voile sur ce passé que personne n’imaginait.
Bien avant les tribunaux, les micros et les caméras, un événement tragique a bouleversé la vie d’Éric Dupond-Moretti. En 1957, son grand-père maternel, immigré italien venu travailler en France, est retrouvé mort le long d’une voie ferrée.
Aucune enquête sérieuse ne sera menée. Pas de coupable, pas d’explication, pas même de compassion. « Tout le monde s’en foutait », confiera plus tard le futur avocat, encore ému par cette injustice restée sans réponse.
Pour le petit garçon qu’il était alors, cette indifférence a laissé une cicatrice indélébile. Elle a nourri en lui une colère sourde, une révolte intérieure, mais aussi une vocation : Celle de devenir la voix de ceux que la société ignore.
Devenu adulte, Éric Dupond-Moretti ne cessera jamais de penser à ce drame. C’est cette douleur, cette injustice vécue au sein même de sa famille, qui l’a poussé à prêter serment et à se lancer dans le droit pénal.
Derrière chaque plaidoirie, derrière chaque dossier défendu, se cache le souvenir d’un grand-père mort dans le silence et l’indifférence générale.
Il le répète souvent : C’est pour lui, et pour tous ceux qui n’ont jamais été entendus, qu’il s’est juré de ne pas se taire.
Tout au long de son parcours, ce drame familial a façonné son tempérament : Celui d’un homme entier, passionné, parfois colérique, mais profondément attaché à la justice.
Son franc-parler, sa défense acharnée des plus fragiles, sa détestation de l’injustice — tout découle de cette blessure originelle.
Devenu ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti incarne à la fois la revanche du petit-fils meurtri et la reconnaissance d’un destin construit sur une tragédie.
Ce drame n’a pas seulement façonné un homme, il a donné naissance à un engagement. En évoquant aujourd’hui la mort de son grand-père, Dupond-Moretti rappelle que la justice n’est pas une machine froide, mais une affaire d’humanité.
Dans chaque dossier, il y a une victime, une famille, une douleur. Et derrière chaque robe noire, parfois, un souvenir personnel que personne ne voit.
Source : Femme Actuelle
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