Enterrée vivante par erreur à Pilsen, Ludmila a vécu l’impensable. Découvrez ce récit réel qui glace le sang.

Déclarée morte, elle se réveille dans son cercueil : L’incroyable mésaventure d’une octogénaire

CHOC

Le 31 mai 2025, dans une petite ville paisible de la région de Pilsen, en République tchèque, une histoire absolument incroyable allait secouer le pays tout entier. Cette histoire, digne d’un scénario de film d’horreur, est pourtant bien réelle. Son héroïne, Ludmila V., 88 ans, a vécu l’impensable : Se réveiller, vivante, dans son cercueil, après avoir été déclarée morte par un médecin légiste.

Ce qui s’est passé ce jour-là dépasse l’imagination et interroge toute une nation sur les dérives possibles du système médical. Voici le récit glaçant — et authentique — d’un enterrement vivant évité de justesse, à quelques poignées de terre du drame.

Une vieille dame que tout le monde pensait partie en paix

Ludmila V. vivait dans un petit appartement de la périphérie de Pilsen, entourée de souvenirs, de photos jaunies et d’un chat nommé Míša. Connue pour sa gentillesse et sa discrétion, elle était veuve depuis plus de 30 ans. Son seul fils, Jiří, habitait Prague et lui rendait visite deux fois par mois. Le 31 mai au matin, une aide-soignante, venue lui apporter son déjeuner, la découvrit inanimée dans son fauteuil.

Convaincue qu’elle était décédée, l’aide-soignante appelle les urgences. Peu après, un médecin légiste arrive sur place. Sans procéder à des examens approfondis, il déclare Ludmila morte, rédige un certificat de décès et fait appeler les pompes funèbres. Il est 10h12.

Du salon au cercueil : La procédure express qui a failli tuer Ludmila

Transportée dans un funérarium local, Ludmila est maquillée, habillée et placée dans un cercueil en vue d’une cérémonie express prévue l’après-midi même, comme cela se fait parfois dans certaines régions de République tchèque. Sa famille n’a pas encore été prévenue, le médecin ayant jugé inutile de prévenir immédiatement ses proches pour « ne pas les alarmer inutilement avant les démarches administratives ».

C’est vers 14h45, dans le calme glacial du funérarium, que tout bascule. Alors qu’une employée entre dans la salle pour un ultime contrôle avant la fermeture du cercueil, elle pousse un cri strident. Ludmila bouge. Lentement. Tremblante. Son torse se soulève. Ses yeux papillonnent. Elle respire.

Le choc, l’alerte, la panique

La scène qui s’ensuit est irréelle : Le personnel appelle les secours dans un état de panique totale. La police arrive en premier, croyant à une erreur d’identification ou à une mauvaise blague. Puis les secours médicaux, qui confirment : Ludmila est bel et bien vivante, mais en état de choc hypothermique et semi-comateux.

La vieille dame est aussitôt transportée à l’hôpital universitaire de Pilsen, où elle est placée en soins intensifs. Elle ne peut parler, mais son rythme cardiaque est stable. Les médecins sont sidérés : Jamais ils n’avaient vu un tel cas.

Comment un médecin légiste a-t-il pu confondre un état comateux avec la mort ? Pourquoi aucun électrocardiogramme n’a-t-il été réalisé ? Pourquoi la procédure funéraire a-t-elle été si rapide ?

Le médecin légiste licencié, le parquet ouvre une enquête

Face à l’indignation publique, le médecin légiste impliqué est immédiatement suspendu, puis licencié dans les 24 heures. Le ministère de la Santé ouvre une enquête administrative, tandis que le parquet de Pilsen annonce l’ouverture d’une procédure judiciaire pour « mise en danger de la vie d’autrui par négligence grave ».

La question de la responsabilité collective se pose : La chaîne médicale a-t-elle fonctionné avec trop de précipitation ? Des défaillances systémiques sont-elles à l’origine de cette erreur fatale ?

Un phénomène rarissime mais pas inédit

Si cette affaire paraît sortie tout droit d’un roman gothique, ce n’est pourtant pas une première dans l’histoire moderne. Plusieurs cas de personnes « mortes » s’étant réveillées dans un cercueil ont été rapportés à travers le monde : En Russie, au Brésil, au Honduras… Ce qu’ils ont en commun ? Une déclaration de décès hâtive, un manque de vérification vitale et, surtout, une procédure funéraire trop expéditive.

En République tchèque, c’est la première fois qu’un cas aussi flagrant fait la une des journaux.

Ludmila, miraculée malgré elle, devient symbole national

Aujourd’hui, Ludmila est toujours hospitalisée. Son état s’améliore doucement. Son fils Jiří, effondré, a remercié le personnel qui a permis de rattraper l’irréparable. Le pays, lui, retient son souffle et s’interroge : Combien d’autres pourraient être victimes d’une telle négligence sans que l’on le sache ?

Le gouvernement a promis une réforme en profondeur de la procédure de constatation de décès. Un audit est en cours dans tous les établissements médicaux du pays.

Quant à Ludmila, elle aurait murmuré à l’infirmière qui l’a réveillée : « Je savais bien que ce n’était pas mon heure… »

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