L’imam de l’école coranique Alfoulk défendait la polygamie, justifiait le mariage forcé et encourageait à tourner le dos aux lois de la République

France : L’imam de l’école islamique Alfoulk encourage ouvertement le mariage forcé des petites filles

CHOC

L’Institut Alfoulk, installé depuis près de quinze ans à Antony dans les Hauts-de-Seine, a été fermé après la découverte de prêches jugés radicalement contraires aux lois et aux valeurs de la République. Cette décision administrative, prise par le préfet Alexandre Brugère, fait suite à un ensemble de contrôles révélant non seulement de graves manquements aux règles de sécurité, mais aussi la diffusion régulière de discours appelant à la polygamie, au mariage forcé de mineures, à l’obéissance absolue des femmes envers leur mari et au rejet explicite des lois françaises.

Les enregistrements, retrouvés parmi d’anciens prêches attribués au responsable de l’institut, Serge Althaparro, ont mis en lumière une vision extrêmement rigoriste et discriminatoire du rôle des femmes. Selon ces discours, une femme ne pouvait assister aux cours de l’Institut Alfoulk qu’avec l’autorisation écrite de son mari ou de son père. La séparation stricte entre les sexes y était systématique, les femmes étant reléguées à l’arrière de la salle. Une tenue couvrante, laissant apparaître uniquement le visage et les mains, était imposée, renforçant l’idée d’un environnement totalement dissocié des normes sociales françaises.

Les prêches allaient encore plus loin en décrivant la polygamie comme un modèle légitime et souhaitable, tout en justifiant le mariage précoce des jeunes filles au nom d’exemples religieux sortis de leur contexte. Le mariage civil français était qualifié d’« invalide », et le divorce considéré comme un droit exclusivement masculin, les femmes ne pouvant en aucune manière y prétendre selon cette doctrine. D’autres propos jugés extrêmement préoccupants visaient directement les lois de la République, qualifiées d’illégitimes, ainsi que les Français eux-mêmes, assimilés à des « alliés du diable ».

Depuis plusieurs mois, l’établissement se trouvait déjà sous surveillance pour risque de dérive communautariste. Les inspecteurs avaient relevé de nombreuses infractions aux normes de sécurité, notamment en matière d’évacuation et d’accueil du public. Le maire d’Antony avait exigé la mise en conformité, mais l’Institut Alfoulk n’a pas répondu aux demandes. Les autorités ont donc acté la fermeture définitive de la structure.

Cette affaire soulève un débat majeur sur la place et le contrôle des associations se présentant comme « culturelles » ou « éducatives » tout en diffusant des contenus allant à rebours de l’égalité hommes-femmes, des droits fondamentaux, et du cadre légal français. Pour de nombreux observateurs, ce cas illustre la nécessité d’une vigilance renforcée face aux dérives de certaines organisations qui, sous couvert d’enseignement religieux ou traditionnel, imposent des normes sociales rétrogrades et contraires à la loi.

La fermeture de l’Institut Alfoulk s’inscrit dans une stratégie plus globale de lutte contre l’islamisme radical et les discours de rupture avec la République. Elle rappelle que la liberté d’association ne peut être un blanc-seing pour diffuser des messages incitant à la soumission des femmes, à la polygamie, au rejet des institutions civiles ou encore à la haine envers la société française.

En révélant ces pratiques et ces discours, cette affaire met en lumière un enjeu central : Protéger les principes républicains tout en garantissant un cadre clair pour l’exercice des cultes. Elle pose également une question essentielle : Comment l’État peut-il mieux anticiper et prévenir ces dérives, afin d’éviter que des structures associatives ne deviennent des relais de radicalisation sociale, politique ou religieuse ?

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Cette fermeture administrative apparaît aujourd’hui comme un signal fort envoyé aux structures qui tenteraient de contourner les lois françaises. Elle confirme la détermination des autorités à intervenir dès lors que des enseignements ou des pratiques menacent l’égalité, la dignité ou la cohésion nationale. Cette affaire, enfin, rappelle le rôle crucial joué par la vigilance citoyenne et institutionnelle dans la prévention des dérives communautaires, comme l’avait rapporté le site Valeurs Actuelles.

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