Jours barbares, autobiographie d’un surfeur nomade
Récit en hommage à l’océan, on y découvre, plus qu’une passion, un véritable art de vivre. Entre amour et haine, l’auteur fait part ici d’une réelle addiction pour le surf. Influencé par le courant beatnik, une certaine insouciance et désinvolture rendent ce roman passionnant, voire même surprenant. D’ailleurs, sans y chercher gloire ou reconnaissance, certaines vagues découvertes lors de ce voyage font aujourd’hui encore rêver les surfeurs du monde entier.