« Je me suis levé tôt, j’y croyais fort. J’ai pris le RER, traversé Paris, avec mes pancartes trempées et mon cœur en feu. Mais en arrivant, j’ai vu trois drapeaux, des slogans fatigués et des mines déconfites. La colère du peuple… elle est où ? »
Il avait promis l’insurrection, la rue debout, le bruit des casseroles et la rage du peuple. Il avait juré que le 10 septembre 2025 serait un moment historique. Il en avait fait une date sacrée, presque biblique, dans son catéchisme insoumis. Jean-Luc Mélenchon, le tribun autoproclamé de la colère populaire, rêvait d’un 10 septembre version Bastille, version République debout.
Résultat ? Une farce. Un sketch. Une pièce de boulevard jouée sous la pluie, sans public, avec des acteurs fatigués et un metteur en scène dépassé par sa propre mise en scène. Dans les rues de Paris, ce 10 septembre, il n’y avait ni marée humaine, ni colère tangible. Juste quelques centaines de fidèles, plus trempés que motivés, tenant des pancartes gondolées sous des parapluies de fortune.
Les slogans ? Les mêmes que d’habitude, balancés sans conviction. Les pancartes ? Des rééditions de 2016. L’ambiance ? Triste, morose, presque gênante. Une manifestation fantôme pour une insurrection de salon. Mélenchon avait convoqué la nation, elle lui a répondu par l’indifférence.
Le plus gênant ? C’est Mélenchon lui-même. Arrivant comme un chef de guerre sur un champ de bataille désert. Lunettes embuées, regard perdu, il a tenté de faire illusion. Il a parlé, bien sûr, comme toujours. Mais dans le vide. Dans l’écho d’un boulevard trop calme. Il n’y avait pas de foule, pas de ferveur. Juste lui, et quelques militants désemparés, à moitié persuadés qu’ils avaient oublié l’heure ou le lieu.
Le contraste entre l’annonce apocalyptique de cette journée et la réalité du terrain était criant. On attendait la révolte, on a eu la pluie. On nous promettait l’Histoire, on a eu une anecdote embarrassante. On espérait le sursaut populaire, on a vu Mélenchon mendier un micro, bredouillant trois phrases devant des caméras de téléphone, comme un youtubeur has-been en quête de buzz.
Les réseaux sociaux n’ont pas épargné le leader de la France Insoumise. Dès les premières images diffusées, les moqueries ont fusé. Sur X, les mèmes se sont multipliés. On le voit, isolé sous la pluie, avec des légendes comme « La révolution a fondu comme neige au soleil » ou « Mélenchon, seul contre la météo« . L’ironie est cinglante, mais surtout révélatrice : L’ancien patron des foules n’arrive plus à mobiliser que des tweets sarcastiques. Il n’est plus le symbole d’un peuple en marche, mais celui d’un homme qui court après sa propre légende.
Même au sein de la gauche, l’heure est au malaise. Plusieurs figures proches de la NUPES avouent en off leur consternation. La stratégie du « bruit et de la fureur » s’épuise. Le storytelling révolutionnaire sonne creux. Et Mélenchon, figé dans une posture théâtrale, ressemble de plus en plus à un acteur jouant un rôle qu’il ne comprend plus.
Car c’est bien là le cœur du problème : Jean-Luc Mélenchon est devenu une caricature de lui-même. Il crie dans le vide, convoque des colères qui n’existent plus, scande des mots d’ordre que personne ne reprend. Il fait de la politique comme on fait du théâtre, mais le rideau est tombé. Et même les spectateurs les plus indulgents quittent la salle en silence, l’air gêné.
Le 10 septembre 2025 devait être un coup de force. Il restera dans les mémoires comme un immense coup dans l’eau. La colère promise a été étouffée par l’absurde, et Mélenchon n’en ressort pas grand, mais grotesque. À force de vouloir incarner la révolution permanente, il a fini par faire rire. Non pas comme un homme d’esprit, mais comme un personnage dépassé par son propre scénario.
Même les médias qui d’ordinaire prennent des pincettes n’ont pu que constater le désastre. Le site Valeurs Actuelles, dans un article au vitriol, titrait : « 10 septembre : et le ridicule étouffa la colère ». Tout est dit. Ce jour-là, ce n’est pas le système qu’on a vu trembler. C’est Mélenchon, égaré, transformé en figurant de sa propre insurrection manquée. L’Histoire ne retient pas les dates ridicules. Mais celle-ci mérite d’être encadrée : 10 septembre 2025, le jour où la révolution insoumise s’est noyée dans une flaque.
Mélenchon voulait faire trembler le pouvoir. Il a surtout fait sourire les passants.

Témoignage de Kevin_LaBlague (Lyon)
J’ai rarement autant ri devant une actualité politique. J’ai lancé le direct de la manifestation du 10 septembre 2025 par curiosité, et franchement je croyais regarder un sketch parodique. Jean-Luc Mélenchon seul sous la pluie, parlant à une foule imaginaire, c’était un chef-d’œuvre de comique involontaire. Le contraste entre son discours dramatique et le vide autour de lui était à mourir de rire. On nous avait promis une insurrection populaire, et on a eu une pièce de théâtre absurde. Mélenchon ridiculisé à ce point, c’est presque artistique. Merci à la France Insoumise pour ce grand moment d’humour politique.
Témoignage de SabRitKool (Montpellier)
J’ai vu passer une vidéo du 10 septembre en pensant que c’était un montage humoristique. En fait non, c’était la réalité ! Jean-Luc Mélenchon, perdu dans une rue trempée, entouré de cinq militants démotivés, essayant de lancer des slogans dans le vide… C’était mieux qu’une émission de divertissement. Cette manifestation insoumise a été un flop monumental. Tout sonnait faux : les pancartes, les visages, les discours. Mélenchon avait l’air d’un acteur oublié qui joue dans une pièce annulée. Je ne m’en remets pas. Le ridicule de cette mobilisation m’a offert le plus gros fou rire de l’année.
Témoignage de NicoRage2Rire (Roubaix)
Quand j’ai vu Mélenchon crier “le peuple est là !” sous une pluie glaciale et face à une douzaine de personnes mal réveillées, j’ai failli recracher mon soda. Sérieusement, on nous vendait une insurrection, et on a eu un micro-rassemblement d’anciens fans. J’ai ri tellement fort que mes voisins ont cru à une crise de nerfs. C’est peut-être cruel, mais ce flop du 10 septembre restera gravé dans ma mémoire comme le plus beau bide militant de la décennie. Mélenchon ridiculisé par sa propre mise en scène, c’est presque une leçon de théâtre politique.
Témoignage de ValérieLeRire (Tours)
Je suis tombée sur les images du 10 septembre un peu par hasard. Mais dès les premières secondes, j’ai hurlé de rire. Ce n’était pas une manifestation, c’était un bêtisier grandeur nature. Entre les slogans dépassés, les pancartes détrempées et Mélenchon qui parlait à une flaque, on aurait cru à une comédie politique. La France Insoumise a raté son grand rendez-vous avec le peuple. Je n’ai même pas eu besoin d’une série Netflix ce soir-là, tout était là : le drame, le burlesque, le pathétique. Un grand moment de ridicule insoumis.
Témoignage de Paul_PasSérieux (Brest)
J’ai toujours suivi la politique avec scepticisme, mais là… Jean-Luc Mélenchon m’a fait découvrir un nouveau genre : la comédie révolutionnaire ratée. Cette journée du 10 septembre 2025 était censée déclencher la colère du peuple, elle a juste déclenché mes abdos à force de rire. Le contraste entre l’ambition annoncée et la réalité sur le terrain est d’un comique rare. Mélenchon qui déclame des tirades sous la pluie face à 15 militants, c’était gênant et hilarant à la fois. On devrait lui remettre une médaille pour “meilleur acteur dans un flop militant”.
Témoignage de AnaïsTordueDeRire (Dijon)
Je me suis connectée au live de la manif insoumise en pensant voir du lourd. Ce que j’ai vu m’a fait rire jusqu’aux larmes : une dizaine de drapeaux qui flottent misérablement, des slogans inaudibles, et un Jean-Luc Mélenchon transformé en speaker radio sous la flotte. Je ne sais pas qui a organisé ce désastre, mais bravo ! Ce flop du 10 septembre, c’est du grand art. Tout sonnait creux, désespéré, théâtral. Et moi, j’étais là, hilare devant mon écran. Du théâtre militant, mais version comédie grinçante.
Témoignage de JeanMichelSourire (Le Havre)
La dernière fois que j’ai autant rigolé devant de la politique, c’était pendant une vieille émission des Guignols. Mais là, c’était en direct, avec un vrai Mélenchon. Ce 10 septembre 2025 est un cas d’école de ridicule politique. Une manifestation vide, des discours creux, une ambiance de kermesse sous anxiolytiques. J’ai partagé la vidéo à tous mes potes. Même les plus engagés à gauche ont ri. Jean-Luc Mélenchon transformé malgré lui en bouffon de la République. Le rire, cette fois, n’était pas du côté du peuple, mais de ceux qui ont fui la place.
Témoignage de TataChantal_LeRetour (Saint-Denis)
C’est officiel : le 10 septembre est le nouveau 1er avril. Je propose qu’on en fasse une journée nationale de la blague politique. Mélenchon, seul au milieu des parapluies, hurlant dans le vide, c’est plus fort que n’importe quel sketch. On aurait dit une parodie de lui-même. Même mon petit-fils de 12 ans a ri. Il m’a dit : “Mais mamie, il parle à qui le monsieur ?”. J’ai pas su quoi lui répondre. À la pluie, peut-être ?
Témoignage de MarvinQuiSeMarre (Nantes)
J’ai assisté à cette mascarade du 10 septembre, et franchement je n’en peux plus de rire en y repensant. C’était une manif ou une répétition de théâtre de collège ? Mélenchon faisait des gestes grandiloquents, parlait comme s’il était à la Bastille… mais il n’y avait personne ! L’écho dans la rue était plus fort que les applaudissements. J’ai même pris une photo pour garder ce souvenir. Il faut archiver ce moment pour l’histoire. C’est trop beau.
Témoignage de Coco_LibreEtRieuse (Rennes)
Avec mes amis, on s’est fait une soirée popcorn en regardant les extraits de la mobilisation du 10 septembre. C’était mieux que n’importe quel stand-up. Mélenchon seul, les slogans inaudibles, les militants frigorifiés, le vide autour… On a ri du début à la fin. Ce jour-là, la révolution s’est noyée dans une flaque d’eau, et l’humour a tout emporté. Merci Jean-Luc pour cette leçon d’auto-dérision involontaire.