procès farfelus

Voici les procès les plus improbables et farfelus de l’histoire

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Les procès, ces reflets des absurdités humaines

Chaque jour, la justice examine des affaires d’une incroyable diversité. Si la plupart répondent à des enjeux sérieux, certaines semblent tout droit sorties de l’imagination débordante de scénaristes de comédies absurdes. Voici une plongée dans les procès les plus improbables et farfelus qui ont marqué l’histoire.

Stella Liebeck : Un café à 2,8 millions de dollars !

L’affaire Stella Liebeck est devenue une référence mondiale en matière de procès farfelus. En 1992, cette femme de 79 ans commande un café dans un McDonald’s à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Tentant de retirer le couvercle de sa tasse pour y ajouter sucre et crème, elle renverse la boisson brûlante sur ses jambes. Résultat : De graves brûlures au troisième degré nécessitant des greffes de peau.

Initialement, Stella Liebeck réclame 20 000 dollars pour ses frais médicaux, une somme que McDonald’s refuse catégoriquement de payer. L’affaire se transforme alors en un procès médiatisé. L’enquête révèle que le café était maintenu à une température excessive de 90 °C, bien au-delà des standards de consommation de 60 °C. Le verdict tombe : McDonald’s est condamné à lui verser 2,86 millions de dollars, une somme équivalente à deux jours de revenus générés par la vente de cafés.

Budweiser et la publicité mensongère : Séduire, vraiment ?

En 1991, un certain Richard Overton décide d’intenter une action contre la marque de bière Budweiser. Son accusation ? Publicité mensongère. Il affirme que la consommation de bière ne lui a pas permis de séduire des femmes, contrairement à ce que la publicité laissait entendre. Sans surprise, le tribunal rejette l’affaire.

Une autre histoire rocambolesque concerne Subway. Un adolescent découvre que son sandwich mesure 2,54 cm de moins que la taille annoncée. Furieux, il engage une action en justice. Bien que cette affaire soit rapidement classée, les avocats réclament tout de même 220 000 dollars de dédommagements.

Allen Heckard et Michael Jordan : La douleur d’une ressemblance

En 2006, Allen Heckard porte plainte contre Michael Jordan et la marque Nike. Sa raison ? Sa ressemblance frappante avec la star du basketball lui aurait causé une souffrance émotionnelle insoutenable. Il réclame 832 millions de dollars, avant de finalement abandonner sa plainte, sous le feu des critiques et des moqueries.

Le pantalon perdu : 54 millions de dollars pour un pressing !

Un avocat attaque un pressing pour avoir perdu son pantalon favori. Il réclame 54 millions de dollars de compensation pour ce qu’il décrit comme un « préjudice émotionnel« . Sans surprise, cette affaire devient un symbole des excès judiciaires.

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