Choc à Marseille : le métro arrêté suite à la découverte de morceaux de corps. Les agents sont sous le choc.

Marseille : Des bouts de corps humains retrouvés dans le métro

CHOC

L’enfer sous la ville

La nuit était tombée depuis longtemps sur Marseille, engluant la cité phocéenne dans une moiteur d’été étouffante. Les touristes erraient encore sur le Vieux-Port, les sirènes des scooters fusaient dans les ruelles de Noailles, et les marins de la Joliette vidaient leurs derniers verres dans les bars de quartier. En surface, la ville somnolait dans un semblant de normalité. Mais sous ses pieds, dans les entrailles sombres de la ligne 2 du métro, se jouait une scène de cauchemar.

Il était un peu plus de minuit, dans la nuit du 8 au 9 juillet 2025, lorsqu’un agent de la RTM, chargé d’une ronde de vérification entre les stations Périer et Rond-Point du Prado, fit une découverte que son cerveau refusa d’abord de traiter. Là, juste après le tunnel, dans cette zone que la lumière effleure à peine, quelque chose traînait sur le ballast. Une masse sombre. Humide. Indéfinissable.

En s’approchant, la vérité s’imposa à lui avec une brutalité inouïe. Un pied. Humain. Nu. Tranché net. À quelques mètres de là, un morceau de cuisse. Puis un avant-bras. Et enfin… une main, crispée, encore partiellement recouverte d’un gant chirurgical. Comme si le corps, ou ce qu’il en restait, avait été volontairement éparpillé sur les rails, disséminé morceau par morceau, comme une offrande morbide à la ville.

L’alerte est donnée

L’agent, secoué par un haut-le-cœur violent, recula en trébuchant sur un rail. Il chancela, se rattrapa de justesse, puis activa sa radio, la voix tremblante, incapable de trouver les mots justes.

Ici secteur Périer… urgence absolue… présence de morceaux humains sur les voies… je répète… morceaux humains !

Dans la salle de contrôle, un silence glacial suivit l’annonce. Il fallut quelques secondes pour que les opérateurs comprennent la gravité de ce qui venait d’être signalé. À 00h37 précises, la ligne 2 fut immédiatement interrompue. Les rames encore en circulation furent stoppées en urgence. Les agents de sécurité mobilisés. La police alertée. Et la ville, sans le savoir encore, sombrait déjà dans un trouble qu’elle n’avait pas connu depuis longtemps.

Une scène de crime digne d’un film d’horreur

Les premiers policiers arrivés sur place crurent à une mauvaise blague. Ils avancèrent lentement, lampe torche à la main, éclairant l’horreur avec une lenteur presque rituelle. Le spectacle était insoutenable. Des morceaux de chair humaine, visiblement récents, jonchaient les rails entre les stations. Aucun sang n’avait été retrouvé sur les quais, ce qui laissait à penser que les restes avaient été déposés après coup… ou ailleurs.

Le corps – ou les morceaux de ce corps – ne portait pas de vêtements. Aucune pièce d’identité. Aucun visage. Aucun signe permettant une reconnaissance rapide. Les policiers, pourtant aguerris, restèrent figés un instant. Même eux, habitués aux scènes de règlements de comptes et aux cadavres retrouvés dans le port, n’avaient jamais été confrontés à une telle sauvagerie.

Un commissaire de la brigade criminelle murmura :

— Ce n’est pas un accident. C’est une signature.

L’ombre du Mal

À 1h15 du matin, la zone fut bouclée. Les techniciens de l’identité judiciaire commencèrent à ramasser les restes, un par un, les déposant dans des sacs plastiques numérotés. Chaque fragment était méticuleusement examiné, photographié, emballé. Le silence n’était rompu que par le clic des appareils photo et le grésillement des radios. Aucun témoin. Aucun indice visuel à ce stade. Seul un détail obsédait les enquêteurs : La netteté des sections. Comme si chaque morceau avait été tranché avec une précision clinique, une froideur presque chirurgicale.

— On dirait un abattoir, lâcha un agent en reculant, livide.

Et si ce n’était pas une image ?

Marseille en état de choc

Au lever du jour, la nouvelle se répandit comme une traînée de poudre. À 8h30, les premières rames reprenaient timidement leur circulation. Mais sur les quais, le regard des usagers était différent. Un silence pesant régnait. Les passants se jetaient des regards inquiets. Chacun se demandait ce qu’il s’était vraiment passé cette nuit. Dans les stations concernées, une forte odeur de produit désinfectant flottait encore dans l’air, mais rien n’y faisait : L’ambiance était lourde. Viscérale.

La RTM, dépassée par l’ampleur de la situation, activait une cellule psychologique pour ses agents. Plusieurs conducteurs se déclaraient en incapacité temporaire. Un agent de nettoyage, encore sous le choc, aurait même présenté sa démission au petit matin.

Les premières hypothèses : Accident, suicide… ou acte criminel ?

L’enquête, désormais entre les mains de la police judiciaire, explorait plusieurs pistes. Un accident ? Peu probable. Aucun incident n’avait été signalé, aucun appel d’urgence, aucun passager porté disparu à ce moment-là.

Un suicide ? Impossible, selon les agents RTM : Aucun choc détecté sur les rames de la veille, aucune caméra ne montrait une personne chutant volontairement.

Alors quoi ? Un corps découpé ailleurs, transporté clandestinement dans le métro puis dispersé morceau par morceau ? Un message envoyé à la ville ? Un acte isolé d’un esprit malade ? Ou pire encore : Les débuts d’un rituel macabre ?

Une source policière évoquait discrètement, en off, la possibilité d’un tueur en série. Une hypothèse que personne n’osait encore formuler à voix haute.

L’identité de la victime toujours inconnue

Les analyses ADN étaient en cours. Selon les premières estimations, les restes appartiendraient à un individu de sexe masculin, entre 40 et 50 ans. Aucun tatouage, aucune cicatrice distinctive, rien permettant une identification rapide. La morgue de Marseille, déjà surchargée, avait été mobilisée d’urgence. Une autopsie complète était prévue dans les 48 heures.

Pendant ce temps, les rumeurs allaient bon train. Certains évoquaient un règlement de comptes lié à la drogue. D’autres, plus superstitieux, parlaient d’un retour des « coupeurs« , ces légendes urbaines marseillaises qu’on racontait aux enfants pour les faire rentrer avant la nuit.

Mais cette fois, ce n’était pas une histoire pour faire peur. C’était réel. Et c’était dans le métro.

La peur s’installe

Depuis ce jour, quelque chose a changé dans la ville. Les passants regardent derrière eux dans les couloirs du métro. Les agents de la RTM travaillent la gorge nouée, priant que la prochaine ronde ne soit pas le théâtre d’une nouvelle abomination.

Marseille, la belle, la rebelle, tremble. Quelque chose rôde dans ses entrailles. Quelqu’un. Un monstre, peut-être. Et cette fois, il ne se cache pas dans les ruelles sombres… mais sous nos pieds.

Un silence pesant sur la ligne 2

La ligne a repris. Le métro roule. Mais le silence, lui, n’est plus anodin. Dans chaque freinage brutal, chaque tunnel mal éclairé, chaque bruit sourd, les usagers entendent désormais autre chose : Un avertissement. Et dans les couloirs de la RTM, certains murmurent qu’on n’a pas tout vu… pas encore.

1 thought on “Marseille : Des bouts de corps humains retrouvés dans le métro

  1. J’habite à Marseille depuis toujours, j’ai grandi avec ce métro, je le prends chaque jour pour aller bosser. Mais depuis que j’ai lu cet article… j’arrive plus à y mettre les pieds sans avoir la nausée. J’ai lu chaque mot, chaque détail… et je me suis mis à la place de l’agent qui a découvert ça. Un pied, une main, un bras… mais dans quel monde on vit ?

    J’ai eu des sueurs froides toute la nuit. J’ai pas dormi. Je me repasse les images dans la tête comme si j’y étais. Le pire, c’est qu’on ne sait toujours pas qui c’est, ni comment c’est arrivé. Et pourtant, on fait comme si de rien n’était. La rame roule, les gens montent, descendent, mais sous leurs pieds, y’a eu l’indicible. Moi, c’est clair, je prends plus la ligne 2. Pas avant qu’on sache toute la vérité.

Laisser un commentaire