Drame choc à Maryland : une mère entend des voix, reste 44 h avec le corps de son fils sur une balançoire – récit authentique et bouleversant.

Elle pousse son fils de 3 ans sur la balançoire pendant 44 heures, l’issue est effroyable

CHOC

Parfois, la frontière entre la vie et la mort se brouille au point de devenir incompréhensible. L’histoire qui suit n’est pas une légende urbaine, ni une rumeur sensationnaliste. C’est un drame glaçant qui s’est réellement déroulé aux États-Unis, dans le Maryland, et dont les détails continuent encore aujourd’hui de bouleverser ceux qui en prennent connaissance.

Le début d’un après-midi ordinaire

En mai 2015, à La Plata, une petite ville paisible du Maryland, une mère du nom de Romechia Simms, âgée de 24 ans, se rend dans un parc avec son fils, Ji’Aire Donnell Lee, un petit garçon de trois ans à la vitalité rayonnante. Personne, en les voyant entrer, n’aurait pu imaginer que ce moment banal allait se transformer en l’un des faits divers les plus tragiques de la décennie.

Romechia place son enfant sur une balançoire. Le geste semble anodin, attendrissant même. Mais ce qui suit échappe à toute logique rationnelle.

La balançoire de l’horreur

Pendant plus de 44 heures, la mère reste sur place, poussant sans relâche la balançoire sur laquelle son fils ne rit plus, ne bouge plus, ne vit plus. Le petit Ji’Aire est mort, victime de déshydratation et d’hypothermie. Pourtant, dans l’esprit troublé de sa mère, la frontière entre l’illusion et la réalité est brisée. Elle continue son geste, encore et encore, comme prisonnière d’un cauchemar éveillé.

Les passants qui croisent cette scène ne parviennent pas immédiatement à comprendre. Certains pensent voir une mère simplement trop investie dans le jeu. D’autres ressentent une gêne sourde, sans parvenir à mettre des mots sur ce qui cloche. Ce n’est qu’au matin du troisième jour que la police intervient, alertée par des témoins inquiets.

Une découverte insoutenable

Lorsque les forces de l’ordre arrivent, la scène est d’une intensité presque irréelle. La balançoire continue de se balancer doucement, portée par la main d’une mère en transe. L’enfant, lui, est inerte depuis longtemps. Le constat médical est implacable : Ji’Aire a succombé au froid et au manque d’eau. Sa mort est officiellement classée comme homicide.

Pourtant, l’histoire ne se résume pas à une simple affaire criminelle. Elle met en lumière les fractures profondes de la santé mentale et l’absence tragique de prise en charge.

Une mère malade, pas une meurtrière

Les experts psychiatres décrivent Romechia comme une jeune femme fragile, souffrant d’un trouble psychotique sévère. Elle avait déjà connu des hospitalisations pour des comportements inquiétants, mais rien n’avait permis d’empêcher ce drame. Au moment des faits, son état mental était tel qu’elle n’avait plus conscience de la mort de son fils.

Un tribunal l’a finalement reconnue irresponsable pénalement en raison de son état psychologique. Pour la justice, Romechia Simms n’était pas une criminelle au sens strict, mais une femme engloutie par la maladie, incapable de comprendre ses actes.

Le poids d’une mémoire insupportable

Depuis ce drame, Romechia vit avec une douleur impossible à décrire. Elle n’a pas seulement perdu son fils, elle l’a perdu d’une manière qui défie l’entendement. Sa mère, Vontasha Simms, s’est battue pour que la mémoire de Ji’Aire ne disparaisse pas dans le silence. Elle a réclamé des réformes afin que d’autres familles ne connaissent jamais une tragédie similaire.

Cette démarche a abouti à la proposition d’une loi surnommée “Ji’Aire’s Law”, visant à renforcer la prise en charge des troubles psychiatriques graves pour prévenir de nouveaux drames.

Une question qui reste sans réponse

Clara, vous demandiez comment un après-midi ordinaire a pu se transformer en quarante-quatre heures de cauchemar. La réponse réside dans ce mélange terrifiant de souffrance psychologique, d’isolement et de défaillance des systèmes de santé publique. La maladie mentale, lorsqu’elle n’est pas détectée ou traitée, peut engendrer des situations qui échappent totalement à la logique humaine.

Un drame qui révèle les failles de la santé mentale

L’histoire de Ji’Aire Donnell Lee et de sa mère Romechia Simms n’est pas seulement celle d’un fait divers atroce. C’est le récit d’une société qui n’a pas su protéger un enfant vulnérable ni soutenir une mère malade. Une balançoire, symbole de l’innocence de l’enfance, s’est transformée en tombeau silencieux.

Ce drame reste un rappel glaçant : Derrière chaque sourire d’enfant, chaque regard de parent, il existe des failles invisibles que l’on ne peut ignorer. Car lorsqu’elles s’ouvrent, elles peuvent engloutir une vie entière.

SOURCE : Article de news.yahoo.com, du 26 août 2025.

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