👉 Comment peut-on encore croire aux promesses d’un parti qui se prétend vertueux, quand chaque scandale et chaque contradiction donne l’impression que tout est gangrené chez LFI ?
« Chez LFI, tout est pourri »
Je n’ai pas choisi ce titre par provocation, mais parce qu’il correspond à mon intime conviction forgée au fil des années, en tant que citoyen, observateur attentif de la vie politique, et en tant que Webmaster de MyJournal.fr. Oui, je le dis clairement : Chez LFI, tout est pourri !
J’ai cru un temps aux promesses de Jean-Luc Mélenchon et de La France Insoumise. Comme beaucoup, j’ai été séduit par leurs discours sur la justice sociale, la lutte contre les inégalités, la défense des plus modestes. Mais très vite, derrière les slogans flamboyants, j’ai découvert une réalité bien différente : Une succession de scandales judiciaires, de polémiques internes, d’alliances douteuses et de contradictions flagrantes.
Les scandales financiers et judiciaires qui gangrènent LFI
Comment croire à un parti qui prétend incarner la vertu alors qu’il accumule les affaires judiciaires ?
- Sophia Chikirou, députée LFI et proche de Jean-Luc Mélenchon, a été mise en examen pour escroquerie aggravée et abus de biens sociaux. La justice l’accuse d’avoir surfacturé des prestations de communication via sa société Mediascop lors de la campagne présidentielle de 2017.
- Bastien Lachaud, député insoumis, est également dans le viseur de la justice pour des faits liés à la même affaire.
- L’association L’Ère du Peuple, pilier de la stratégie de Mélenchon, a été poursuivie pour escroquerie et usage de faux.
À cela s’ajoute l’enquête européenne menée par l’OLAF. L’Office de lutte antifraude soupçonne Jean-Luc Mélenchon d’avoir utilisé des assistants parlementaires européens pour travailler en France, une pratique prohibée. Ce qui est reproché à d’autres partis est ici reproduit par celui qui prétend incarner la morale politique.
Les polémiques internes et le culte du chef
Mais la pourriture ne se limite pas aux tribunaux. Elle ronge aussi l’organisation interne de LFI. Derrière le vernis d’une démocratie participative se cache en réalité un mouvement verrouillé, centré sur la figure de Jean-Luc Mélenchon.
- François Ruffin, député LFI, a dénoncé un climat de peur et l’absence de débat au sein du mouvement.
- Les dissidents parlent d’un parti où tout est décidé par un petit cercle de fidèles, où les voix discordantes sont étouffées.
- Plusieurs militants décrivent un fonctionnement autoritaire, où l’on dénonce les autres partis pour leur verticalité, tout en reproduisant exactement les mêmes pratiques.
Les attaques contre la presse et la communication verrouillée
LFI se présente comme le parti du peuple, mais refuse régulièrement de rendre des comptes à la presse.
- Plusieurs journalistes, dont Olivier Pérou, se sont vu refuser l’accréditation pour couvrir des événements insoumis.
- Les médias critiques sont systématiquement attaqués, insultés, qualifiés d’ennemis.
- LFI, qui accuse les autres d’opacité, pratique elle-même le verrouillage médiatique.
Les révélations des livres-enquêtes : “Complices du mal” et “La Meute”
Deux livres récents sont venus confirmer ce que beaucoup pressentaient.
📖 “Complices du mal : LFI et l’islamisme” dénonce les complaisances inquiétantes de certains cadres de LFI vis-à-vis de mouvances islamistes, par pur calcul électoral. L’ouvrage accuse le mouvement d’avoir sacrifié ses principes républicains pour séduire certains électorats. Le scandale a été tel que LFI a tout fait pour bloquer sa diffusion.
📖 “La Meute”, quant à lui, révèle les coulisses internes du mouvement : Un climat de peur, une hiérarchie autoritaire, des attaques systématiques contre toute contestation, et un culte du chef autour de Jean-Luc Mélenchon. Le livre décrit LFI comme une organisation obsédée par sa communication agressive, au détriment de la démocratie interne.
Les autres scandales et contradictions qui s’accumulent
Les affaires judiciaires et les livres ne sont que la partie visible de l’iceberg. LFI traîne derrière elle d’autres polémiques :
- Des accusations de communautarisme qui divisent profondément la société.
- Des déclarations polémiques de certains élus, qui choquent jusque dans leurs propres rangs.
- Des stratégies électorales jugées opportunistes, basées sur la provocation et le clivage permanent.
À chaque fois, le même constat :
👉 Au lieu de rassembler, LFI divise.
👉 Au lieu d’incarner une alternative crédible, elle sombre dans la caricature.
Le constat amer d’un citoyen désabusé
Moi, Yann, Webmaster de MyJournal.fr, j’ai cru à l’espoir que pouvait représenter LFI. Mais les scandales, les contradictions et les révélations m’ont ouvert les yeux.
Oui, je l’affirme : Chez LFI, tout est pourri ! Non pas parce que je le souhaite, mais parce que les faits le prouvent. Entre les affaires judiciaires, le culte du chef, les complaisances idéologiques et la haine de la presse, La France Insoumise a trahi ses propres idéaux.
Ce témoignage est le mien, mais je sais qu’il résonne chez beaucoup d’autres Français. Car ce qui tue la politique, ce ne sont pas seulement les mensonges des adversaires, mais aussi les illusions trahies par ceux en qui l’on croyait.
📅 Chronologie des scandales et polémiques de LFI
👉 2017 – L’émergence et déjà les soupçons
- Jean-Luc Mélenchon réalise un score historique à la présidentielle (près de 20%). Mais très vite, les premiers soupçons apparaissent autour des comptes de campagne. L’association L’Ère du Peuple est accusée de surfacturations et d’escroquerie.
👉 2018 – La perquisition choc et la colère de Mélenchon
- Une perquisition a lieu au siège de LFI et au domicile de Jean-Luc Mélenchon dans le cadre de l’enquête sur les comptes de campagne.
- Mélenchon perd son sang-froid face aux policiers et aux magistrats, criant : « La République, c’est moi ! ». Ces images marquent durablement l’opinion publique.
👉 2019 – L’ombre de l’OLAF
- L’Office européen de lutte antifraude (OLAF) ouvre une enquête sur l’utilisation des assistants parlementaires européens de Mélenchon. Ils auraient travaillé en France pour LFI, au lieu de Bruxelles.
👉 2020 – Sophia Chikirou dans la tourmente
- La proche de Mélenchon, déjà épinglée dans l’affaire des comptes de campagne, est à nouveau mise en cause pour des prestations de communication douteuses via sa société Mediascop.
👉 2021 – Les polémiques communautaristes
- Plusieurs prises de position de cadres LFI sur le voile et la laïcité provoquent un tollé. Le mouvement est accusé de complaisance vis-à-vis de certaines mouvances islamistes, ce qui nourrit les critiques de “communautarisme électoraliste”.
👉 2022 – Les élections législatives et les tensions internes
- Grâce à la NUPES, LFI obtient un groupe puissant à l’Assemblée Nationale. Mais déjà, des voix s’élèvent en interne, comme François Ruffin, dénonçant l’absence de débat et le culte du chef autour de Mélenchon.
👉 2023 – Attaques contre les journalistes
- Plusieurs reporters, dont Olivier Pérou, se voient refuser l’accès à des événements LFI. Les relations avec la presse deviennent explosives : Tout média critique est qualifié d’ennemi.
👉 2024 – Les révélations judiciaires
- Sophia Chikirou est mise en examen pour escroquerie aggravée et abus de biens sociaux. Bastien Lachaud est lui aussi poursuivi.
- Les accusations contre Mélenchon et LFI dans l’affaire des assistants européens ressurgissent, alimentant l’idée d’un double discours.
👉 2025 – Les livres-enquêtes qui font trembler LFI
- 📖 « Complices du mal : LFI et l’islamisme » : Ce livre accuse LFI d’avoir pactisé avec des mouvances islamistes pour des raisons électorales. La polémique est telle que LFI tente de bloquer sa diffusion.
- 📖 « La Meute » : Ce second ouvrage révèle l’atmosphère interne délétère du parti, décrivant une organisation verrouillée, obsédée par la communication et centrée sur Mélenchon.
Mon constat personnel
En retraçant cette chronologie, je constate une constante : Les affaires, les polémiques et les contradictions sont devenues la marque de fabrique de LFI.
- Des élus mis en examen (Chikirou, Lachaud).
- Un leader hystérique face aux magistrats.
- Des enquêtes européennes pour détournement présumé de fonds.
- Des attaques permanentes contre la presse.
- Des accusations de communautarisme électoraliste.
- Des livres-chocs qui dévoilent les coulisses nauséabondes du mouvement.
Moi, Yann, Webmaster de MyJournal.fr, je n’ai pas envie de fermer les yeux. Je ne peux plus croire aux grands discours d’un parti qui trahit systématiquement les idéaux qu’il prétend défendre.
Oui, je l’affirme avec force : Chez LFI, tout est pourri !
LFI = DANGER ! ☠️
👉 Au lieu de rassembler, LFI divise.
Cette affirmation est vraie !
Chez LFI, tout est pourri : Les affaires Chikirou et Lachaud, le culte du chef, les attaques contre la presse, les complaisances avec l’islamisme. C’est une déception immense pour la gauche.
On nous promettait un parti qui défend les précaires, mais LFI s’est transformée en machine à scandales. Je ne veux pas que ma colère serve de marchepied à des dirigeants qui trompent les gens.
J’ai toujours voté à gauche, mais aujourd’hui je n’ai plus confiance. Avec LFI, entre les affaires, les scandales et les livres qui révèlent leurs dérives, je me dis que oui : Tout est pourri !
La phrase de Mélenchon “La République, c’est moi” m’a marqué. C’est exactement ce qu’il reprochait à Macron. J’ai compris que ce parti reproduisait les mêmes travers qu’il dénonçait.
Quand j’ai entendu parler du livre Complices du mal, ça m’a révolté. Fermer les yeux sur l’islamisme pour gagner des voix ? C’est de la compromission politique, rien d’autre.
LFI parle du peuple, mais refuse l’accès aux journalistes qui posent les vraies questions. Un parti qui attaque la presse, c’est un parti qui a quelque chose à cacher.
Mélenchon parlait de justice sociale, et moi, j’y ai cru. Mais quand l’OLAF a enquêté sur lui pour ses assistants parlementaires, j’ai vu l’hypocrisie. Ils se prétendent différents, mais ils font comme les autres.
J’ai toujours voté à gauche, mais quand j’ai appris que Sophia Chikirou était poursuivie pour escroquerie aggravée, ça a été la goutte d’eau. LFI n’a rien de propre. Pour moi, c’est une trahison.
Je croyais que LFI allait défendre notre génération, mais après avoir lu La Meute, j’ai découvert un parti autoritaire, sans débat interne. Je ne veux pas d’un futur dominé par des chefs qui imposent la peur.
J’ai voté Mélenchon en 2017 parce qu’il parlait des ouvriers, de ceux qui triment dur. Mais quand j’ai vu les affaires judiciaires et les mises en examen, j’ai compris qu’on s’était fait berner.
Ils critiquent les riches, mais ils trempent dans les mêmes combines.
Bastien Lachaud aussi est visé par la justice. Comment croire en un parti qui met en avant des élus déjà éclaboussés par des scandales financiers ?
Chez LFI, tout est pourri : les affaires judiciaires, les contradictions, les alliances douteuses. Ce parti a trahi tous ses idéaux.
LFI dit défendre la liberté, mais refuse des journalistes critiques. Quand on muselle la presse, on n’est plus dans la démocratie.
Les prises de position de LFI sur l’islamisme m’ont glacé. Quand on ferme les yeux pour gagner des voix, on n’est plus un parti républicain, mais un parti opportuniste.
L’OLAF qui enquête sur Mélenchon pour utilisation d’assistants parlementaires européens en France, c’est la preuve qu’ils font comme les autres qu’ils dénoncent. Hypocrisie totale.
J’ai lu Complices du mal et La Meute : deux livres terrifiants qui décrivent LFI de l’intérieur. Entre islamisme et autoritarisme, on découvre un parti pourri jusqu’à la moelle.
Quand j’ai appris que Sophia Chikirou était mise en examen pour escroquerie aggravée, j’ai compris que LFI n’était pas différent des autres partis corrompus. Leurs grands discours sonnent creux.
J’ai longtemps cru en Jean-Luc Mélenchon, mais le culte du chef qu’il a instauré à LFI me dégoûte. Il critique Macron comme monarque présidentiel, mais il reproduit la même chose en interne.
Pour ceux qui avaient des doutes, maintenant c’est clair.