👉 « Comment accepter qu’en France, au cœur d’une République laïque, on interdise une affiche du Sacré-Cœur, alors même que d’autres représentations religieuses sont mises en avant sans problème ? »
L’histoire aurait pu paraître anecdotique. Une affiche religieuse, une campagne de communication, un message spirituel. Et pourtant, ce qui s’est produit avec l’interdiction de l’affiche du Sacré-Cœur en France dépasse largement le cadre d’un simple débat publicitaire. Car derrière cette décision, beaucoup voient le signe d’un racisme antichrétien qui s’installe de plus en plus ouvertement dans notre pays, sous couvert de neutralité ou de laïcité.

Strasbourg : Deux affiches, deux traitements
D’un côté, une affiche officielle de la Ville de Strasbourg, montrant une femme âgée souriante, voilée, avec un slogan doux et rassurant : « Strasbourg, la douceur de ville ». Campagne publique, validée, diffusée dans les rues.
De l’autre, une affiche reprenant l’iconographie du Sacré-Cœur, symbole majeur du christianisme, avec une image lumineuse et un message simple : « Son règne n’a pas de fin ». Une affiche qui se voulait spirituelle, porteuse d’espérance. Mais celle-ci a été purement et simplement interdite.
Deux images, deux symboles religieux. Deux poids, deux mesures.
Une censure ciblée : Pourquoi le christianisme dérange-t-il ?
La question taraude de nombreux croyants et observateurs : Pourquoi, en France, le christianisme semble-t-il être la seule religion que l’on peut censurer sans scrupule ?
Les autorités justifient l’interdiction par la nécessité de respecter la laïcité et de ne pas « choquer » certains citoyens. Mais où est la cohérence ? Comment accepter qu’une religion soit promue publiquement au nom de la diversité, tandis qu’une autre est systématiquement reléguée au silence ?
Cette décision a été perçue par beaucoup comme une attaque frontale contre la liberté religieuse et contre le patrimoine chrétien de la France.
Racisme antichrétien : Un mal silencieux qui progresse
Parler de racisme antichrétien n’est pas un effet de style. C’est un constat qui s’impose, au vu des faits. Le christianisme, jadis pilier fondateur de la civilisation européenne, est désormais traité comme une religion suspecte, tolérée mais pas célébrée.
Dans les médias, dans la publicité, dans les institutions, les références chrétiennes sont souvent effacées ou censurées, alors même qu’elles font partie intégrante de notre histoire et de notre culture.
Interdire une affiche du Sacré-Cœur, ce n’est pas seulement refuser une image. C’est nier des siècles de spiritualité et de mémoire collective.
Laïcité à géométrie variable : Une hypocrisie française
La laïcité, dans sa définition originelle, visait à garantir la liberté de chacun et la neutralité de l’État. Mais aujourd’hui, cette même laïcité est instrumentalisée de façon sélective.
- Quand il s’agit du christianisme : Interdictions, effacements, censures.
- Quand il s’agit d’autres religions : Tolérance, visibilité, promotion institutionnelle.
Ce déséquilibre nourrit un sentiment d’injustice et alimente l’idée que la France pratique une laïcité à géométrie variable, où certains symboles sont protégés et d’autres bannis.
Les fidèles indignés : « On veut nous faire taire »
Dans les églises, dans les familles, sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas fait attendre. De nombreux fidèles dénoncent un climat de persécution symbolique.
Certains parlent d’un « apartheid spirituel » où le christianisme, religion majoritaire en France pendant des siècles, est désormais relégué au rang de gêneur.
Un prêtre strasbourgeois confiait récemment :
« On veut faire croire que la foi chrétienne n’a plus sa place dans l’espace public. Mais elle continue de vivre dans le cœur des fidèles, et aucune interdiction d’affiche n’y changera rien. »
Liberté d’expression religieuse : Un droit fondamental menacé
L’interdiction de l’affiche du Sacré-Cœur relance un débat fondamental : Celui de la liberté d’expression religieuse.
Peut-on vraiment, dans une République qui se dit démocratique, choisir quelles croyances peuvent s’afficher et lesquelles doivent disparaître ?
Le droit à la liberté religieuse est garanti par la Déclaration universelle des droits de l’homme. Mais en pratique, ce droit est fragilisé dès qu’il s’agit du christianisme.
Un symbole qui ne disparaîtra pas
Le plus ironique, c’est que cette censure a peut-être eu l’effet inverse. En interdisant l’affiche, les autorités ont donné une visibilité accrue au message qu’elles voulaient faire taire. Aujourd’hui, partout en France, des citoyens s’indignent, partagent l’image, et rappellent que le Sacré-Cœur reste un symbole éternel.
Car oui, comme le dit le slogan interdit : « Son règne n’a pas de fin ».
Un appel à la cohérence et à la justice
Interdire une affiche chrétienne n’est pas anodin. C’est un acte politique, culturel, spirituel. Un acte qui révèle un racisme antichrétien trop souvent passé sous silence.
La France ne peut pas prétendre défendre la liberté, la diversité et l’égalité si elle choisit de censurer une religion tout en en promouvant d’autres.
Ce combat n’est pas seulement celui des croyants. C’est celui de tous ceux qui défendent une société juste, cohérente, respectueuse de ses racines.
Parce que la foi chrétienne, qu’on le veuille ou non, fait partie de l’âme de la France. Et aucune interdiction d’affiche ne pourra l’effacer.
👉 SOURCE : Yann GOURIOU – Rédacteur et Responsable Éditorial de MyJournal.fr
J’ai 74 ans et je me souviens encore des processions autour du Sacré-Cœur dans ma jeunesse. C’était des moments de joie et de ferveur. Apprendre aujourd’hui que cette image est interdite, c’est comme si on m’arrachait une part de ma mémoire. La France n’a pas honte de ses églises, de ses clochers, de ses cathédrales. Alors pourquoi avoir honte du Sacré-Cœur ? Je ne veux pas finir ma vie dans un pays qui efface ses racines.
Je ne suis pas croyant, je ne vais pas à l’église, et le Sacré-Cœur n’a pas de sens spirituel pour moi. Mais ce que je vois là m’inquiète. On interdit une affiche chrétienne, alors qu’on en tolère d’autres. Ce n’est pas la foi qui est en jeu, c’est la liberté d’expression. Aujourd’hui, c’est le christianisme qu’on censure. Demain, ce sera quoi ? Je préfère vivre dans un pays où toutes les religions peuvent s’exprimer plutôt que dans un pays où l’État choisit qui a le droit de parler.
J’ai 22 ans, je suis étudiant à Strasbourg, et je suis fier d’être chrétien. Mais aujourd’hui, j’ai le sentiment qu’on veut museler notre génération. On nous parle de diversité, d’inclusion, mais cette diversité exclut toujours la même religion : la nôtre. Je ne veux pas d’une société où porter une croix au cou devient un acte de rébellion. Le Sacré-Cœur, ce n’est pas une provocation, c’est un message d’amour universel. Ceux qui l’interdisent devraient avoir honte.
J’élève trois enfants et j’essaie de leur transmettre des valeurs simples : respect, honnêteté, amour du prochain. Le Sacré-Cœur symbolise tout cela pour moi. Alors quand j’ai appris que l’affiche avait été interdite, j’ai ressenti un profond malaise. Comment expliquer à mes enfants que dans leur propre pays, on interdit les symboles chrétiens ? J’ai peur qu’on leur apprenne à avoir honte de leur foi, comme si être chrétien en 2025, c’était être suspect. C’est révoltant ! 🤬
Je suis prêtre depuis plus de vingt ans, et jamais je n’aurais pensé vivre cela en France. Interdire une affiche du Sacré-Cœur, c’est interdire à des millions de fidèles de voir représenté ce qui nourrit leur foi. On nous parle de laïcité, mais ce n’est pas de la neutralité : c’est de la censure. Quand je traverse Paris et que je vois encore la basilique de Montmartre se dresser fièrement, je me dis que rien ne pourra effacer le christianisme. Mais dans le cœur, cette interdiction est une blessure.
Je suis bouleversé par cette histoire. Comment peut-on, en France, le pays des cathédrales, des processions et du Sacré-Cœur de Montmartre, interdire une simple affiche chrétienne ?
Nous sommes en 2025 et j’ai l’impression qu’on veut effacer le christianisme de l’espace public, comme s’il s’agissait d’une religion honteuse. Pourtant, il s’agit de notre histoire, de nos racines, de notre culture.
Quand je vois qu’on laisse passer d’autres affiches religieuses sans problème, je me dis qu’il y a bel et bien deux poids, deux mesures. On appelle ça la laïcité, mais pour moi, c’est de la censure. Et pire encore : c’est du racisme antichrétien.
Je n’ai jamais eu peur de dire que je suis chrétien, mais aujourd’hui, on me fait sentir que ma foi doit rester cachée. Eh bien non ! Le Sacré-Cœur fait partie de nous et aucune interdiction ne pourra l’éteindre.