« Comment peut-on encore louer des dortoirs aussi délabrés en plein centre-ville de Rennes, sans qu’aucun contrôle ne soit fait ? »
👉 Avis Hostel Rennes
Je n’oublierai jamais cette semaine passée dans une auberge de jeunesse située au bord du canal, en plein cœur de Rennes. J’y suis resté sept jours, au printemps 2025, pensant y trouver un hébergement simple, propre et convivial, comme le laissaient entendre les photos séduisantes du site Internet. Ces images montraient des dortoirs impeccables, baignés de lumière, des draps tirés au cordeau, des murs blancs éclatants et des voyageurs souriants autour d’un café.
Mais dès la première minute, le décor s’est effondré. Ce que j’ai découvert sur place n’avait rien à voir avec la promesse numérique. Les photos n’étaient pas seulement embellies : elles étaient mensongères.
Dès la porte franchie, une odeur âcre d’humidité et de moisi m’a saisi. Le sol collait sous mes chaussures, les murs étaient tâchés de traces brunâtres, et la peinture s’écaillait par plaques. Dans le dortoir, le matelas creusé par le poids du temps dégageait une odeur de transpiration mêlée à celle du désinfectant bon marché.
Les draps, censés être propres, étaient froissés, tachés, et portaient encore l’odeur des précédents occupants.
Le mobilier tenait à peine debout. Une lampe de chevet penchait comme si elle s’était battue contre le mur. Les prises électriques, dénudées, laissaient apparaître des fils rouillés.
Mais le pire, c’était les sanitaires.
Des douches sans rideau, à moitié cassées, dont l’eau froide alternait avec des jets brûlants sans prévenir. Le sol était recouvert d’une pellicule grasse, un mélange d’eau stagnante et de savon rance. Dans les WC, la chasse d’eau fonctionnait une fois sur deux, et une odeur d’égout persistante rendait la pièce irrespirable.
Des clients entraient et sortaient, visiblement gênés, sans oser se plaindre.
Un soir, alors que j’allais me coucher, un membre du personnel m’a publiquement humilié. Devant plusieurs clients, il m’a accusé d’avoir “souillé les toilettes”.
Je suis resté figé, sidéré. Puis il a ajouté, sur un ton méprisant :
« On n’a jamais vu un gros porc pareil ici ! »
Ces mots m’ont glacé.
Je suis une personne propre, respectueuse et discrète. Être insulté ainsi, en public, dans un lieu censé accueillir des voyageurs, m’a profondément blessé. Aucun mot d’excuse, aucune remise en question, rien.
L’humiliation est restée.
Les jours suivants, j’ai observé d’autres détails : les draps changés à la va-vite, les seaux posés dans les couloirs pour récupérer les fuites d’eau, les clients qui quittaient la chambre à l’aube sans un mot. L’ambiance était lourde, pesante, comme si tout le monde voulait simplement partir sans faire d’histoire.
La nuit, il était impossible de dormir. Le bruit des lits grinçants, des portes qui claquent et des pas dans le couloir formaient une symphonie sinistre. Le moindre courant d’air faisait claquer la fenêtre mal fixée.
Le matin, une odeur de renfermé et de produits chimiques se mêlait à celle du café instantané servi à la réception.
Je me souviens m’être dit : Comment un établissement peut-il oser afficher de telles photos sur Internet ?
Ces clichés, propres, lumineux, bien cadrés, semblaient appartenir à un autre lieu.
Rien ne correspondait à la réalité.
Tout était trompeur, jusqu’aux avis “parfaits” publiés en ligne, qu’on soupçonne aujourd’hui d’avoir été soigneusement filtrés.
Quand la semaine s’est enfin terminée, j’ai quitté l’auberge avec un immense soulagement.
Mon unique envie : prendre une vraie douche, respirer de l’air frais, et retrouver un minimum de dignité.
Ce séjour m’a appris une leçon essentielle : sur Internet, tout peut être maquillé. Derrière un site bien conçu, une belle photo et quelques phrases flatteuses, on peut dissimuler la crasse, le mépris et l’indifférence.
⚖️ Note légale de protection
👉 Ce témoignage reflète une expérience strictement personnelle et n’a pas vocation à diffamer ni nuire à l’établissement concerné. Il s’agit d’un avis individuel, exprimé dans le cadre du droit à la liberté d’expression et d’information, garanti par l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme. Chaque lecteur est invité à confronter ce témoignage avec d’autres avis pour se forger sa propre opinion.
Franchement, il suffit de taper « Avis Hostel Rennes » sur Google pour comprendre.
Ce n’est pas une auberge de jeunesse, c’est une catastrophe industrielle ! Entre les photos trompeuses, les chambres dégueulasses et les témoignages d’humiliation, comment peut-on encore louer ça à des voyageurs ?
J’allais réserver… et je remercie sincèrement tous ceux qui ont partagé leurs avis négatifs sur l’Hostel Rennes. Vous m’avez évité de gaspiller mon argent et de vivre le même cauchemar.
Pour moi, c’est clair : Cet endroit est à fuir comme la peste !
En cherchant une auberge de jeunesse sur Rennes, je suis tombé sur l’Hostel Rennes. Au début, les photos m’ont donné envie de réserver : tout avait l’air propre, moderne et accueillant.
Mais avant de confirmer, j’ai voulu faire ce que tout le monde devrait faire : lire les avis en ligne. Et là, quelle claque ! Des dizaines de témoignages négatifs, des clients déçus, des descriptions d’insalubrité, d’odeurs nauséabondes, et même des remarques humiliantes du personnel.
Franchement, ça m’a refroidi. Quand on lit autant de mauvais avis sur l’Hostel Rennes, ce n’est plus un hasard. Et après avoir lu ce témoignage ici sur MyJournal.fr, c’est décidé : je préfère passer mon chemin.
Je choisirai une autre auberge de jeunesse, ou même un petit hôtel si je dois payer un peu plus cher.
Ce qui est sûr, c’est que je n’irai jamais foutre un pied dans un taudis pareil, surtout après avoir vu toutes ces photos trompeuses et lu autant de récits dégoûtés.
Merci à ceux qui ont pris le temps de témoigner, ça évite à d’autres voyageurs de tomber dans le piège.