Coût de l’immigration : les milliards cachés du budget français

Pourquoi le mot « immigration » a disparu du budget 2026 ?

POLITIQUE

Chaque année, le sujet de l’immigration en France revient sur le devant de la scène politique, mais sans jamais trouver de réponse claire. Selon les estimations du ministère de l’Intérieur, la France compterait environ 700 000 étrangers en situation irrégulière. Ces migrants sans papiers vivent souvent dans des conditions extrêmement précaires : Campements sauvageshébergements d’urgence saturésmendicité dans les grandes villes, ou encore occupation illégale de logements.

À Paris, Marseille ou Lyon, les scènes de rue transformée en campement ne sont plus rares. Certains de ces migrants travaillent au noir dans le bâtiment, la restauration ou la livraison. D’autres survivent grâce à des aides sociales, tandis qu’une minorité finit dans la délinquance, faute d’intégration ou de perspectives.

Pourquoi laisser les frontières ouvertes ?

Beaucoup de Français s’interrogent : Pourquoi maintenir une immigration de masse, quand tant de migrants se retrouvent sans abri dans les rues ?

Les gouvernements successifs parlent de solidarité internationale, mais la réalité, selon de nombreux économistes, est celle d’un système coûteux, mal contrôlé et inefficace.

Les coûts de l’immigration restent difficiles à évaluer précisément, mais plusieurs rapports publics et parlementaires ont déjà évoqué des chiffres oscillant entre 25 et 35 milliards d’euros par an, si l’on additionne :

  • L’Aide Médicale d’État (AME) pour les sans-papiers,
  • Les aides sociales destinées aux demandeurs d’asile,
  • L’hébergement d’urgence pour les migrants,
  • Les coûts de la scolarisation des enfants étrangers,
  • Les dépenses judiciaires et carcérales,
  • Les opérations de contrôle aux frontières,
  • Et les programmes d’intégration et de formation linguistique.

Pourquoi le mot « immigration » est-il absent du budget 2026 ?

C’est l’un des points les plus critiqués : Dans le budget 2026 de la France, le mot « immigration » n’apparaît même pas. Ni dans les dépenses, ni dans les économies. Pourtant, les Français demandent de la transparence : Combien coûte l’accueil des migrants ? combien rapportent-ils à l’économie ? quelles sont les dépenses d’assimilation ?

La réalité est que ce sujet reste tabou. Les chiffres sont éclatés entre différents ministères : Intérieur, Santé, Éducation nationale, Justice, Solidarités, Affaires étrangères, etc.

Résultat : Aucune vue d’ensemble claire n’est présentée aux contribuables.

Quelles économies l’État français pourrait-il faire sur l’immigration ?

Voici plusieurs pistes d’économies possibles, souvent évoquées par des économistes ou anciens hauts fonctionnaires :

  1. Réformer l’AME (Aide Médicale d’État) pour la réserver uniquement aux soins urgents.
  2. Durcir les conditions de regroupement familial, aujourd’hui responsable de près de la moitié des entrées légales.
  3. Accélérer les expulsions des étrangers en situation irrégulière au lieu de financer des années de procédure.
  4. Réduire les dépenses d’hébergement d’urgence, en orientant davantage les aides vers la coopération internationale dans les pays d’origine.
  5. Limiter l’accès automatique aux aides sociales (RSA, allocations familiales, logement) aux seuls étrangers résidant légalement depuis plusieurs années.
  6. Supprimer les subventions aux associations pro-migrants dont le rôle se substitue parfois à celui de l’État.
  7. Renforcer le contrôle des visas étudiants et humanitaires, souvent détournés pour immigrer durablement.

Aider les migrants… mais chez eux ?

Plutôt que de dépenser des milliards pour gérer la misère sur le sol français, certains experts suggèrent de relocaliser les aides dans les pays d’origine : Création d’emplois, développement agricole, accès à la santé et à l’éducation.

Cette stratégie, souvent appelée « aide au développement ciblée », permettrait de freiner les départs, tout en réduisant le flux migratoire vers la France et l’Europe.

En agissant ainsi, la France pourrait faire des économies substantielles tout en préservant la dignité humaine, sans encourager les filières clandestines.

Un débat nécessaire

L’immigration en France reste un sujet explosif. Entre réalisme budgétairehumanisme affiché et tabou politique, le débat reste bloqué. Mais une chose est certaine : L’absence de chiffres clairs dans le budget 2026 ne fera qu’alimenter la défiance.

Pourtant, les marges d’économie existent, et le sujet mérite d’être mis sur la table, sans idéologie.

👉 Source : Yann, Webmaster de MyJournal.fr

Laisser un commentaire