De la Génération silencieuse à la Génération Alpha : histoire complète des générations du 20e et 21e siècle – MyJournal.fr

Toutes les générations depuis 1900 : Histoire complète des générations du 20ème et 21ème siècle

HISTOIRE

Toutes les générations depuis 1900 : Histoire complète des Baby-Boomers, Génération X, Y, Z et Alpha

Chaque époque façonne ses enfants. Chaque siècle laisse derrière lui des cicatrices et des rêves, portés par des générations successives qui grandissent dans un monde en perpétuel changement. Depuis le début du XXe siècle, les sociologues ont donné un nom à ces cohortes : Génération grandiose, Génération silencieuse, Baby-Boomers, Génération X, Millennials (ou Génération Y), Génération Z et Génération Alpha.

La Génération grandiose (1900–1930)

La Génération grandiose (1900–1930) : Des tranchées aux Années folles

Ils naissent à l’aube du XXe siècle, quand le monde bascule dans la vitesse : chemins de fer, électricité, premiers avions, cinéma muet et jazz qui s’invite dans les arrière-salles. Leur jeunesse est fauchée par la Première Guerre mondiale : Verdun, la Somme, la boue des tranchées, les permissions trop courtes et les lettres froissées dans les poches du vareuse. Ceux qui reviennent se taisent souvent, mais bâtissent, réparent, reprennent souffle. Puis viennent la grippe espagnole et ses processions de deuils, rappel brutal que le progrès n’annule pas la fragilité humaine.

Dans les années 1920, cette génération réapprend à vivre. On l’appellera parfois « grandiose » parce qu’elle aura tenu bon, puis ré-enchanté la vie : Années folles, dancings, Charleston, Art déco, cafés fumants où l’on parle de Freud et de Picasso, robes qui se raccourcissent, automobiles qui pétaradent sur les boulevards, postes de radio qui grésillent au cœur des appartements. Les villes se verticalisent, la publicité colonise les murs, la modernité s’invite à table avec le réfrigérateur, la TSF, les grands magasins.

Le soir, on écoute des voix venues d’ailleurs, on découvre les images des actualités filmées, on apprend de nouveaux mots : productivitémétroweek-end. Le dimanche, on pose pour des photos sépia, fiers d’appartenir à un temps qui s’obstine à sourire malgré les cicatrices. Cette cohorte lègue à ses enfants un goût de l’effort, une éthique du travail, mais aussi l’idée que la culture, la fête et la ville peuvent panser les blessures du siècle.

Ils sont la charnière : Derniers enfants d’un monde rural et premiers habitants d’une modernité électrique.

Entre catastrophe et élan vital, ils auront tenu la promesse d’un futur plus ample, celui que les générations suivantes habiteront – parfois sans savoir quel prix il a coûté.

La Génération silencieuse (1928–1945)

La Génération silencieuse (1928–1945) : Survivre avant tout

Ils naquirent dans l’ombre de la Grande Dépression et grandirent dans le vacarme de la Seconde Guerre mondiale. Leur enfance fut marquée par la peur, le rationnement et l’absence des pères partis au front. On les surnomme « silencieux » car ils ne se plaignaient pas : Leur quotidien était discipline, obéissance et résilience.

Pas de télévision ni de superflu. Le jeu était rare, l’avenir incertain, mais ils ont porté sur leurs épaules la reconstruction des pays dévastés. Routes, écoles, logements… ils ont rebâti ce que la guerre avait détruit. Leur héritage est la stabilité et le sens du devoir.

Les Baby-Boomers (1946–1964)

Les Baby-Boomers (1946–1964) : L’âge d’or de l’abondance

La paix revenue, le monde connaît une explosion démographique : C’est le baby-boom. Les Baby-Boomers grandissent dans les Trente Glorieuses, une période de prospérité sans précédent. Ils découvrent la télévision en noir et blanc, les premiers réfrigérateurs, les vacances au bord de la mer et l’essor de la société de consommation.

Ils sont aussi la génération des révoltes. En mai 68, ils descendent dans la rue et bouleversent les codes établis. Ils inventent une nouvelle liberté, chantent avec les Beatles, dansent sur le rock’n’roll et s’affichent hippies, cheveux longs et fleurs aux vestes. Pour eux, tout semble possible : Plus de droits, plus de libertés, plus de rêve collectif.

👉 Et Mai 68 ?

Une précision s’impose : Le mouvement de Mai 68 a été mené par une génération charnière. Les étudiants et jeunes adultes qui descendaient dans la rue étaient en majorité nés entre 1943 et 1950. Ils appartenaient donc pour certains aux derniers enfants de la Génération silencieuse, et pour d’autres aux tout premiers Baby-Boomers.

Ainsi, si tous les Baby-Boomers n’ont pas participé à Mai 68 (les plus jeunes étaient encore collégiens ou enfants à l’époque), ce mouvement a profondément marqué l’image de leur génération. Il symbolise l’esprit de contestation, la volonté de briser les anciens codes et de revendiquer de nouvelles libertés, valeurs qui accompagneront les Baby-Boomers dans leur vie adulte.

Leur jeunesse a donc été celle d’une double expérience : L’insouciance des Trente Glorieuses et la contestation des années 60. Ils resteront dans l’histoire comme la génération de l’optimisme, de la consommation de masse, mais aussi de la rébellion culturelle et sociale.

La Génération X (1965–1980)

La Génération X (1965–1980) : L’indépendance pragmatique

Coincés entre l’ombre des Baby-Boomers et l’arrivée des Millennials, les enfants de la Génération X grandissent dans les années 70 et 80. Ils connaissent les chocs pétroliers, le chômage de masse, la peur du sida, mais aussi l’explosion de la culture pop.

Leur adolescence se vit au rythme du magnétoscope, du Walkman et des premiers jeux vidéo Atari et Nintendo. Ils sont les enfants qui jouaient dehors sans portable, les ados qui soufflaient sur leurs cartouches NES pour que le jeu démarre enfin, les jeunes adultes qui assistent à la chute du mur de Berlin en 1989.

Souvent livrés à eux-mêmes après l’école, ils apprennent à se débrouiller seuls. Leur identité est faite d’indépendance, de pragmatisme et d’un certain scepticisme vis-à-vis des institutions.

Les Millennials (1981–1996) – Génération Y

Les Millennials (1981–1996) : Une génération en quête de sens

On les appelle aussi la Génération Y. Leur enfance est marquée par les dessins animés du Club Dorothée, les premières consoles de salon, puis l’arrivée d’Internet. Ils découvrent MSN Messenger, les Skyblogs, les téléphones portables à clapet et les premiers iPods.

Mais leur jeunesse est bouleversée par des chocs majeurs : Les attentats du 11 septembre 2001, qui leur montrent que le monde n’est pas invincible, puis la crise économique de 2008 qui détruit des millions d’emplois.

Contrairement aux Baby-Boomers, ils ne rêvent pas seulement de CDI et de maison en banlieue. Ils veulent voyager, entreprendre, travailler autrement. Ils cherchent du sens dans leur vie, pas uniquement de la sécurité matérielle. Ils sont flexibles, ouverts, connectés, mais confrontés à la précarité et aux difficultés du logement.

La Génération Z (1997–2010)

La Génération Z (1997–2010) : Les natifs du numérique

Pour eux, Internet n’a pas été une découverte, mais une évidence. Nés avec un smartphone dans la main, ils sont les enfants de YouTube, TikTok et Instagram. Ils ne conçoivent pas la vie sans Wi-Fi, sans réseaux sociaux ni sans notifications instantanées.

Ils ont grandi dans un monde globalisé, discutant en anglais avec des inconnus sur Discord, suivant des influenceurs coréens et s’informant sur Twitter. Mais leur adolescence est marquée par les grandes crises : Le réchauffement climatique, la pandémie de Covid-19, l’inflation et les guerres diffusées en direct sur les écrans.

Créatifs et entrepreneurs, certains lancent des marques depuis leur chambre, deviennent influenceurs avant même d’avoir 18 ans. Mais ils souffrent aussi d’anxiété numérique et de la pression permanente de l’image sur les réseaux.

La Génération Alpha (2011–2025)

La Génération Alpha (2011–2025) : Les enfants de l’IA

La Génération Alpha est celle des enfants d’aujourd’hui, les fils et filles des Millennials. Leurs premiers mots sont souvent filmés sur smartphone, leurs premiers pas partagés sur Instagram. Ils apprennent à lire sur des tablettes, parlent à des assistants vocaux et suivent parfois des cours en réalité augmentée.

Ils grandissent dans un monde marqué par la pandémie de Covid-19, les confinements, les classes virtuelles sur Zoom. Leur quotidien est façonné par l’intelligence artificielle, la robotique et les écrans omniprésents.

Leur avenir est encore une énigme. Seront-ils des génies technologiques capables de réinventer la société ou des enfants prisonniers d’un monde trop numérique ? Une chose est sûre : Ils écriront les premières pages d’un futur où l’IA occupe déjà une place centrale.

Une fresque humaine

De la rigueur de la Génération silencieuse à l’hyperconnectivité de la Génération Alpha, chaque cohorte raconte une partie de l’histoire du monde moderne. Les générations se succèdent, se répondent et se contredisent, mais toutes forment une chaîne qui relie le passé au futur.

👉 Et demain ? Déjà, certains évoquent la future Génération Bêta, celle qui grandira après 2030, dans un univers dominé par l’intelligence artificielle, les enjeux climatiques et peut-être de nouvelles révolutions sociales. Leur histoire reste à écrire.

Et vous, de quelle génération êtes-vous ?

Chaque génération a ses souvenirs, ses joies, ses révoltes et ses découvertes technologiques. Que vous soyez Baby-Boomer, Génération X, Y, Z ou Alpha, votre histoire compte aussi.

👉 Partagez votre témoignage en commentaire 👇

Racontez vos souvenirs, vos anecdotes, ou la façon dont vous avez vécu les grandes transformations de votre époque. Votre vécu enrichira cet article et permettra de continuer ce voyage à travers le temps.

Histoire complète des générations depuis 1900

📍 Mot de l’auteur

Je suis Yann, né en 1978Webmaster de MyJournal.fr et auteur de cet article. J’appartiens à la Génération X et j’ai grandi avec le Minitel, le magnétoscope, les cassettes VHS, le Walkman, les premiers ordinateurs personnels, les cartouches Nintendo, les posters du Club Dorothée et même les bruyants modems 56k.

Écrire cet article a été pour moi un vrai plaisir, car il m’a permis de replonger dans mes souvenirs tout en partageant une histoire collective. J’espère qu’il vous donnera autant de plaisir à lire que j’en ai eu à l’écrire.

Merci de faire vivre MyJournal.fr 🙏

29 thoughts on “Toutes les générations depuis 1900 : Histoire complète des générations du 20ème et 21ème siècle

  1. J’ai 12 ans et je fais partie de la Génération Alpha, comme l’explique MyJournal.fr. Pour moi, Internet n’est pas une découverte : c’est normal. Je joue à Fortnite, je fais mes devoirs avec ChatGPT, j’apprends sur YouTube. Le monde est déjà numérique pour nous. Mais en même temps, mes parents me disent qu’on ne profite pas assez de l’extérieur, qu’on passe trop de temps devant les écrans. Peut-être qu’ils ont raison, mais pour nous, le futur est déjà là.

  2. J’ai 20 ans, je suis de la Génération Z et l’article de MyJournal.fr m’a parlé comme rarement. Nous n’avons pas connu un monde sans Internet : TikTok, YouTube et Instagram sont nos bibliothèques, nos cafés, nos journaux. Mais cette hyperconnexion a un prix : anxiété, peur de rater quelque chose, solitude parfois. Je crois que ce qui nous définit, ce n’est pas seulement le numérique, c’est aussi l’urgence climatique et sociale. On nous appelle les digital natives, mais nous voulons surtout être la génération qui agit pour réparer ce qui a été cassé.

  3. Je suis née en 1990, donc en plein dans la génération Y, aussi appelée Millennials. L’article de MyJournal.fr m’a rappelé que nous avons grandi avec MSN, Skyblog, les premiers téléphones portables, puis Facebook. Nous avons été les cobayes d’Internet. On nous décrit comme une génération fragile, mais nous sommes surtout marqués par la précarité de l’emploi, le poids des études longues et la crise de 2008. Pourtant, nous avons apporté la culture numérique et l’esprit start-up. La vérité, c’est qu’on a appris à être flexibles, dans un monde qui change trop vite.

  4. Je suis né en 1974, donc de la Génération X. Ce que dit MyJournal.fr est vrai : nous avons été une génération de transition. Nous avons connu le téléphone à cadran et les cabines, puis les premiers ordinateurs et Internet à la maison. On nous appelle parfois la génération oubliée, coincée entre les Baby-boomers et les Millennials. Mais nous avons dû nous adapter à tout : crises économiques, chômage des années 80, arrivée du numérique. Aujourd’hui, je crois que notre résilience est notre héritage : nous avons appris à naviguer dans l’incertitude.

  5. Je suis né en 1953, au cœur de ce qu’on appelle aujourd’hui la génération des Baby-boomers. En lisant l’article sur MyJournal.fr consacré à l’histoire des générations, j’ai ressenti de la fierté : nous avons grandi dans la prospérité d’après-guerre, avec l’essor de la consommation, la télévision en noir et blanc, les premiers voyages. On nous reproche souvent d’avoir “profité” d’un âge d’or, mais nous avons aussi connu Mai 68, le choc pétrolier et la guerre froide. Je pense que notre force, c’est d’avoir construit une société de confort, parfois critiquée, mais qui a ouvert la voie aux générations suivantes.

  6. Génération X, né en 1968, j’ai grandi dans un monde en mutation : chute du mur de Berlin, sida, premiers ordinateurs dans les bureaux.

    En lisant votre article sur MyJournal.fr, je réalise que nous avons été une génération tampon, entre la stabilité d’avant et la vitesse folle d’aujourd’hui.

    Nous avons porté des révolutions silencieuses, mais nous avons aussi perdu une certaine innocence.

  7. Je m’appelle Léa, je suis née en 2003, donc je suis bien de la Génération Z au sens que vous décrivez. En lisant votre article sur MyJournal.fr, j’ai eu un sentiment étrange : c’est comme si vous aviez posé des mots sur ce que je vis sans même me connaître.

    Depuis toute petite, j’ai toujours eu ce réflexe : “Googler” avant même de poser une question, vérifier Instagram pour savoir ce que tout le monde pense, regarder des vidéos sur YouTube comme si elles étaient partie de mon éducation. Le monde digital n’est pas une découverte pour moi : c’est mon paysage.

    Et pourtant — c’est là ce que j’ai aimé dans votre texte — vous ne présentez pas tout cela comme un simple gadget ou un luxe. Vous le reliez à des héritages : les luttes des générations précédentes, les idéaux politiques, les ruptures historiques. Quand vous évoquez que les Z ont grandi “dans un monde globalisé” ou qu’ils “s’informent en direct”, je reconnais ce que je vois autour de moi — la course à l’instantané, la culpabilité de ne pas toujours savoir filtrer l’information, l’angoisse de se perdre dans un flot continu.

    Ce qui me marque le plus, c’est le contraste entre deux idées : la liberté et la pression. Oui, j’ai la liberté de lancer une marque, de créer du contenu ou de militer en ligne depuis ma chambre. Mais je ressens aussi une pression permanente : rester visible, rester “relevant”, suivre les tendances, ne pas “déconnecter”, ne pas rester à la traîne dans les usages numériques. Ces contradictions, vous les captez bien.

    Pendant le confinement lié à la pandémie, je suis restée des semaines devant mon écran pour suivre les cours, mais aussi pour garder le lien. Cette “expérience Z” — où le virtuel devient refuge, mais aussi source d’isolement — je l’ai vécue. Alors oui : votre article me parle, parce que vous ne faites pas de la Génération Z un cliché, mais un chemin avec ses zones d’ombre et de lumière. Merci d’avoir écrit cela.

  8. Bayrou ne cesse de citer la génération boomer qui serait responsable des finances et des dettes de la France.

    Il se moque d’eux et les cite trop souvent.

    A t il oublié qu’il fait parti de cette génération ?

    Sachant qu’il clame haut et fort que ce sont les boomers qui auraient tout pris. Il se moque d’eux.?

    Merci pour vos commentaires.

  9. Je suis né en 2002, donc je fais partie de la Génération Z. En lisant cet article, j’ai vraiment eu l’impression qu’on racontait ma vie. Pour nous, le monde a toujours été connecté. J’ai grandi avec YouTube, j’ai ouvert mon premier compte sur Facebook à 12 ans, puis je suis vite passé à Instagram, Snapchat et aujourd’hui TikTok 🎶📱.

    Je n’ai jamais connu un monde sans smartphone. Mon premier vrai téléphone, c’était un iPhone, et j’avais déjà l’habitude de tout chercher sur Google, de discuter avec mes amis en ligne et de binge-watcher des séries en streaming.

    Mais ce qui nous a le plus marqués, nous les Z, c’est sûrement la pandémie de Covid-19 😷. On a passé des mois en cours derrière un écran, à faire des visios sur Zoom et à rester connectés pour garder le contact. On a aussi été les premiers à s’engager massivement sur les réseaux pour le climat 🌍, les droits sociaux ou la lutte contre les inégalités.

    Je me reconnais dans cet article parce qu’il montre bien que notre génération est à la fois ultra-connectée et créative, mais aussi parfois un peu perdue face à toutes les infos qui défilent non-stop. Merci d’avoir écrit un texte qui parle de nous sans clichés, ça fait plaisir ! 🙌

  10. Je suis né en 1988, donc je fais partie de la Génération Y, qu’on appelle aussi les Millennials. En lisant cet article, je me suis tout de suite reconnu. Mon enfance, c’était les dessins animés du Club Dorothée 📺, les cassettes VHS qu’on regardait encore et encore, les tamagotchis qu’il fallait nourrir, et les interminables parties de Game Boy sous la couette avec la petite lampe accrochée.

    Puis, à l’adolescence, tout a changé avec l’arrivée d’Internet. J’ai connu MSN Messenger, Skyblog, les heures passées sur les premiers forums et les connexions interminables avec le modem 56k qui bloquait la ligne téléphonique 📡. J’ai aussi eu mon premier téléphone portable à clapet 📱, avec des SMS limités à 160 caractères et le fameux jeu Snake.

    Ce qui nous caractérise, nous les Millennials, c’est ce mélange entre une enfance encore très “analogique” et une adolescence propulsée dans le numérique. Nous avons grandi avec les CD, puis découvert les MP3, les iPods, et enfin les réseaux sociaux comme Facebook, qui sont apparus quand nous étions jeunes adultes.

    Cet article m’a rappelé à quel point notre génération a été le pont entre deux mondes : celui de nos parents Baby-Boomers et Génération X, et celui de nos enfants qui appartiennent déjà à la Génération Alpha. C’est un plaisir d’avoir pu lire un texte aussi détaillé, qui raconte notre histoire collective et nos souvenirs communs.

  11. En tant que Baby Boomer, il est évident que j’ai connu l’évolution des différentes générations.

    Moi qui ai connu les années sans eau directe dans la maison, sans réfrigérateur, sans téléphone, sans internet et j’en passe, cette évolution des générations et de ces progrès considérables est remarquable.

    Elle fait peut être peur pour certains. Elle est aimée par D’autres. cela va très vite et cela semble être très lointain. En ayant connu les jeux de marelle, les billes, les sauts à la corde etc etc… Lorsque l’on voit la jeunesse d’aujourd’hui on peut peut-être s’inquiéter pour les petits enfants et arrières petits enfants qui ne connaitront que l’IA et n’auront plus de contacts humains. cette évolution ne rend elle pas individualiste et Déshumanise?

    Peut -être un sujet futur pour votre journal.
    Beau travail.

  12. Je m’appelle Yann, je suis né en 1978, et j’ai pris énormément de plaisir à écrire cet article en tant que Webmaster et auteur de MyJournal.fr. J’appartiens à la Génération X, une génération charnière qui a grandi sans Internet ni téléphone portable, mais qui a vu arriver une quantité incroyable de nouveautés qui ont bouleversé nos vies.

    Je me souviens du Minitel 📟, qui était une révolution à l’époque, du magnétoscope et des cassettes VHS 🎬 qu’on rembobinait religieusement, et des cassettes audio qu’on rembobinait avec un stylo ✏️. J’ai connu l’arrivée du Walkman 🎧, puis du Discman et des premiers ordinateurs personnels 🖥️ avec leurs disquettes souples.

    C’était aussi l’époque des jeux vidéo rétro 🎮 : souffler sur les cartouches Nintendo, passer des heures sur la Super NES, la Megadrive de Sega, puis découvrir la PlayStation. Les salles d’arcade faisaient partie de nos vies, tout comme le Rubik’s Cube, les posters accrochés aux murs, le Club Dorothée 📺 et les baskets Reebok à scratch 👟.

    Je me rappelle encore des téléphones fixes avec cadran ☎️ remplacés par les premiers sans fil, puis par les énormes portables des années 90. Les fax 📠 arrivaient dans les bureaux, les télécommandes changeaient notre manière de regarder la télévision, et Internet débarquait timidement avec ses modems 56k bruyants 📡.

    En grandissant, j’ai compris que ma génération avait eu une chance unique : celle d’avoir connu une enfance simple et libre, sans écrans omniprésents, puis d’avoir participé à la naissance du monde numérique. Nous avons été des pionniers, capables de passer de l’analogique au digital, de la cassette au streaming, du Minitel à Internet.

    En tant que Webmaster de MyJournal.fr et auteur de cet article, j’ai voulu transmettre ces souvenirs, mais aussi montrer à quel point chaque génération a façonné notre société. J’espère que vous aurez autant de plaisir à lire cet article que j’en ai eu à l’écrire. Merci à vous, lecteurs fidèles, de faire vivre ce projet jour après jour 🙏.

  13. Je suis né en 1952, donc en plein dans la génération des Baby-Boomers. En lisant cet article, beaucoup de souvenirs me sont revenus, mais j’aimerais en partager d’autres qui ne sont pas forcément mentionnés.

    Quand j’étais enfant, les grandes nouveautés de notre époque, c’était par exemple le réfrigérateur. Avant, on mettait le beurre et le lait dans une boîte en métal ou à la cave. Avec l’arrivée du frigo dans la cuisine, c’était la modernité absolue ! La machine à laver aussi a changé la vie de nos mères, qui jusque-là lavaient encore le linge à la main ou à la lessiveuse.

    À l’adolescence, nous avons découvert la télévision en noir et blanc 📺. Tout le monde se rassemblait chez le voisin qui en avait une, pour regarder les grandes émissions comme Intervilles ou le premier homme qui a marché sur la Lune en 1969. Je n’oublierai jamais ce soir-là : nous étions des millions devant notre poste, à retenir notre souffle.

    Il y avait aussi la musique : le transistor a révolutionné notre quotidien. On emmenait la radio partout, à la plage, en pique-nique, et on écoutait les yéyés, Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Sheila, Claude François. Sans oublier la mode : les scooters Vespa, les blousons en cuir, les jupes qui raccourcissaient, les pantalons pattes d’eph.

    Oui, nous avons grandi dans un monde en pleine transformation, entre l’insouciance des Trente Glorieuses et les grandes révoltes sociales de la fin des années 60. Être Baby-Boomer, c’était avoir un pied dans la tradition et l’autre dans la modernité. Cet article m’a rappelé que nous avons été une génération charnière, et j’en suis fier.

  14. Euh… c’est quoi ce truc chelou qu’on appelait Minitel ?! 😅📟 Genre vous alliez sur “3615” pour avoir la météo et ça bloquait le téléphone ?! 🤯🤣 Moi j’ai Siri, Google et TikTok direct… respect mais MDR 😂👌

  15. Alors là… j’ai découvert dans cet article que mes parents utilisaient un truc qui s’appelait le Minitel 😳. Sérieusement ?! Un gros boîtier marron avec un écran qui ressemble à une télé de cuisine et un clavier qui claque ? 😂

    Vous deviez taper 3615 pour tout et attendre des plombes pour avoir une info… et en plus ça bloquait la ligne téléphonique ☎️. J’imagine la scène : “Raccroche, je dois appeler mamie !” pendant que papa cherchait l’heure du train 🤣.

    Franchement, respect 🙌 parce qu’avec ça vous aviez quand même inventé une sorte d’Internet avant l’heure. Mais désolé, quand je vois vos “super technologies”, ça me fait surtout penser à un ancêtre du Wi-Fi sous perfusion. Bref, merci pour cet article, j’ai bien rigolé en découvrant vos outils “high-tech” d’époque 😂.

  16. Ah le Minitel… toute une époque ! Moi qui suis Baby-Boomer, j’ai découvert ça un peu sur le tard, dans les années 80. On tapait laborieusement sur ce petit clavier en plastique marron, on se connectait au 3615, et on avait l’impression de piloter une navette spatiale 🚀… alors qu’en fait, on cherchait juste l’horoscope du jour ou l’horaire du train 🤣.

    Je me souviens encore du bruit de la ligne téléphonique occupée par la connexion, et des engueulades à la maison parce que “ça coûtait une fortune” 💸 ! Aujourd’hui, quand je vois mes petits-enfants zapper entre Netflix, TikTok et jeux en ligne, je leur dis toujours : “Nous aussi on était connectés, mais en noir et blanc et à 1200 bauds !” 😂

    Merci pour cet article, ça m’a fait rire et ça m’a rappelé que même si on n’avait pas Google, on avait déjà notre Internet avant l’heure. Et quelque part… on était déjà des geeks !

  17. En lisant cet article sur les générations, j’ai tout de suite pensé au Minitel. Moi, j’ai grandi dans les années 70–80 et je fais donc partie de la Génération X.

    On se connectait sur le fameux 3615, avec ce petit écran marron et ses touches carrées, et on avait l’impression d’être déjà dans le futur 😅.

    Quand je vois mes enfants avec Internet dans la poche et TikTok en continu, ça me fait sourire. Nous, on découvrait laborieusement des services en ligne en noir et blanc, avec des temps de chargement interminables. Mais c’était magique !

    Cet article m’a rappelé que nous sommes une génération de pionniers numériques. On a connu le monde sans Internet, puis on a vu arriver les ordinateurs, le Minitel, les premiers modems qui faisaient “crrrr bzzz” pour se connecter. Ça m’a replongé dans une époque où chaque nouveauté technologique était une révolution.

    Un vrai plaisir de lecture, que j’ai aussitôt partagé avec mes amis qui, comme moi, ont tapé leurs premières recherches sur un clavier de Minitel.

  18. J’ai 13 ans donc je suis de la Génération Alpha 😅. Franchement, en lisant cet article j’ai halluciné 🤯 : Mes parents ont grandi sans téléphone portable, sans Internet et sans Netflix 😳. Jouer dehors toute la journée, souffler sur une cartouche de jeu pour que ça marche 🎮, attendre une semaine pour voir la suite d’un dessin animé 📺… c’est trop bizarre pour moi 😂.

    J’ai trouvé ça trop intéressant 👌 et ça m’a donné envie de demander à mes parents comment c’était “avant”. Merci pour cet article super cool 🙏, je l’ai même partagé avec mes potes 🤳.

  19. En lisant cet article, j’ai eu l’impression de remonter le temps et de revivre mon enfance.

    J’ai grandi sans Internet, sans téléphone portable, et en retrouvant les descriptions de la Génération X et des années 80–90, j’ai senti une vraie bouffée de nostalgie.

    Les cartouches de Nintendo qu’il fallait souffler, les cassettes audio qu’on rembobinait avec un stylo, les après-midis passés dehors sans être surveillés en permanence… Tout y est, et c’est exactement ça.

    Ce que j’ai apprécié par-dessus tout, c’est que l’article ne se contente pas de décrire les générations : Il raconte une histoire, il nous transporte. On se reconnaît dans certains passages et on comprend mieux les autres.

    C’est un vrai travail de mémoire, mais aussi un voyage rempli d’émotions.

    Merci pour ce moment !

  20. Je viens de terminer la lecture de cet article sur les générations et je dois avouer que j’ai pris énormément de plaisir à le parcourir.

    Rarement je n’avais trouvé un texte aussi complet, clair et informatif sur le sujet. Chaque génération est décrite avec précision, mais aussi avec une touche romancée qui m’a permis de voyager à travers le temps.

    J’ai appris des choses que je ne savais pas, notamment sur la Génération grandiose et son rôle charnière dans l’histoire, mais je me suis aussi reconnu dans certains passages, ce qui rend la lecture encore plus captivante.

    Bravo pour ce travail de mémoire et d’analyse. C’est le genre d’article qu’on ne lit pas en diagonale, mais qu’on savoure du début à la fin. Je l’ai immédiatement recommandé autour de moi, car il aide vraiment à comprendre qui nous sommes et d’où nous venons.

  21. Franchement, je ne m’étais jamais vraiment posé la question de savoir à quelle génération j’appartenais.

    En lisant l’article sur MyJournal.fr, j’ai découvert que je fais partie de la Génération X… et tout s’est éclairé. Le Walkman vissé aux oreilles, les après-midis dehors sans portable, les parties interminables de jeux vidéo où il fallait souffler sur la cartouche pour qu’elle fonctionne… c’était exactement mon enfance !

    Ce que j’ai trouvé passionnant dans cet article, c’est la façon dont il relie nos souvenirs personnels à l’histoire collective. Je me suis reconnu dans chaque phrase, et ça m’a donné une vraie fierté d’appartenir à cette génération indépendante et débrouillarde.

    Tellement intéressant que je l’ai partagé sur ma page Facebook, pour que mes amis se replongent eux aussi dans leurs souvenirs et découvrent, à leur tour, de quelle génération ils font partie.

    1. Très intéressant et enrichissant. L’évolution des générations avec ses avantages et ses inconvénients est un sujet auquel on n’aurait pas pensé.

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