« Sophie, imaginez-vous scroller tranquillement sur YouTube et voir soudain apparaître une publicité officielle du Royaume-Uni vous avertissant que si vous traversez la Manche, vous serez immédiatement renvoyé en France : Est-ce ainsi que Londres pense pouvoir stopper le désespoir des migrants ? »
Sous un ciel bas et lourd au-dessus des plages du Nord, là où les barques abandonnées jonchent parfois le sable mouillé, un nouveau champ de bataille vient de naître. Non pas un affrontement de forces armées ni une patrouille de gendarmes, mais une guerre invisible, numérique, orchestrée par le Royaume-Uni.
Selon Le Figaro, Londres a choisi de déployer une campagne digitale inédite, directement en France, afin de dissuader les migrants de tenter la traversée clandestine de la Manche. C’est une première, une manière subtile et glaçante de dresser une barrière psychologique avant même que les migrants n’embarquent sur ces frêles esquifs qui défient les vagues et la mort.
La stratégie est calibrée avec une précision redoutable : Des vidéos diffusées sur YouTube, des images projetées sur Facebook, toutes traduites en plusieurs langues — français, pashto, farsi, arabe et anglais.
Ces messages portent l’emblème officiel du Royaume-Uni et préviennent froidement que toute arrivée illégale par bateau se soldera par un retour immédiat en France. Plus encore, ces publicités ne sont pas lancées au hasard : Elles ciblent spécifiquement les zones où la tentation de la traversée est la plus forte, Calais en tête, mais aussi d’autres points stratégiques du littoral français. Les algorithmes, ces nouveaux gardiens des frontières, traquent les profils, ajustent les diffusions, anticipent le désespoir pour tenter de l’éteindre.
Cette campagne s’inscrit dans un contexte explosif. Le nombre de traversées illégales bat des records : Des dizaines de milliers de migrants ont déjà franchi la Manche depuis le début de l’année, défiant les patrouilles, les accords et les discours.
Pour Londres, l’heure n’est plus seulement à la répression physique en mer, mais à une prévention psychologique, presque propagandiste, qui s’invite jusque dans l’intimité d’un écran de smartphone.
Imaginez un jeune Afghan, assis dans une tente au campement de Grande-Synthe, qui ouvre YouTube pour écouter de la musique et voit soudain s’afficher une vidéo officielle du Royaume-Uni l’avertissant que sa traversée sera inutile. L’effet recherché est clair : Briser l’espoir avant qu’il ne se transforme en action.
Derrière cette campagne se cache un accord plus large, conclu entre la France et le Royaume-Uni, connu sous le nom de “one-in, one-out”. Depuis août 2025, il permet à Londres de détenir immédiatement les migrants arrivés illégalement et de les renvoyer vers la France, tout en s’engageant à accueillir légalement un nombre équivalent de personnes.
Mais en pratique, ce système reste limité, presque symbolique face à l’ampleur du flux. Cinquante personnes renvoyées par semaine, autant de légales acceptées, quand des milliers continuent de traverser chaque mois. Les images de barques interceptées, de familles épuisées, de visages marqués par la peur et la faim, contrastent brutalement avec ces vidéos lisses et calibrées que l’on diffuse sur les réseaux sociaux.
Les associations dénoncent une stratégie déshumanisée. Elles rappellent que derrière chaque traversée se cache une histoire de guerre, de misère ou de persécution, et qu’aucune publicité sur Facebook ne peut effacer la détermination de ceux qui n’ont plus rien à perdre. Pourtant, le Royaume-Uni mise sur cette arme nouvelle, espérant que certains hésiteront, que quelques familles rebrousseront chemin, que la peur d’un retour immédiat freinera l’élan du désespoir.
Sur les plages de Calais, les policiers détruisent les canots saisis. Dans les campements, la rumeur de cette campagne numérique se répand. Certains migrants haussent les épaules, d’autres y voient une menace de plus dans un parcours déjà jalonné de dangers et de refus. Mais à Londres, on se félicite d’avoir franchi un cap dans la lutte contre l’immigration illégale. Pour le gouvernement britannique, cette campagne marque le début d’une guerre d’un nouveau genre : Une guerre où la frontière ne se trace plus seulement sur la mer, mais dans les flux d’images, de publicités et d’algorithmes.
À l’heure où la Manche continue d’avaler des vies, cette campagne pose une question vertigineuse : Peut-on vraiment stopper le désespoir à coups de vidéos publicitaires ? Londres croit que oui. La France, partenaire de cet accord, accepte le jeu. Mais sur le sable humide des plages du Nord, là où l’écume s’accroche aux coques des barques éventrées, les silhouettes continuent d’avancer. Et malgré les campagnes numériques, malgré les promesses de renvois, malgré les images froides qui s’affichent sur les écrans, le flot humain cherche toujours à franchir la mer.
Je viens de tomber sur cette histoire de campagne numérique lancée par le Royaume-Uni pour dissuader les migrants de quitter la France, et franchement, je suis choqué. On marche sur la tête !
La France est déjà en crise, elle est endettée jusqu’au cou, les hôpitaux saturent, les logements manquent, les factures explosent, et malgré tout… elle continue d’accepter sans broncher cette immigration massive, y compris celle qui nous est refilée par l’Angleterre. C’est hallucinant !
On dirait que notre pays n’est plus qu’un guichet social ouvert à la planète entière, sans limite, sans contrôle, sans aucune considération pour les Français qui galèrent chaque jour à boucler les fins de mois.
Ce qui me scandalise encore plus, c’est que Londres ose mettre en place une propagande digitale pour dissuader les départs, mais que derrière, c’est la France qui se retrouve à devoir reprendre ces migrants. Comme si nous étions devenus la poubelle des accords européens et des politiques migratoires étrangères. C’est insupportable, et à un moment donné, il va bien falloir que les Français disent STOP à cette mascarade.
Jusqu’à quand allons-nous accepter ces conneries ? Jusqu’à quand allons-nous laisser les gouvernements nous imposer des choix que nous n’avons jamais validés dans les urnes ? Ce pays ne pourra pas tenir éternellement à ce rythme. On ne peut pas continuer à accueillir massivement alors que nos finances publiques s’effondrent, que la dette explose et que nos propres citoyens sont laissés sur le carreau.
Il faut absolument reprendre la main, et c’est pour ça que je pense qu’il est urgent de soutenir la pétition de Philippe de Villiers pour la mise en place d’un référendum sur l’immigration massive et incontrôlée. C’est la seule façon de rendre la parole aux Français, de dire clairement si nous voulons encore continuer à subir ou si nous préférons reprendre le contrôle de notre avenir.
Assez des discours lénifiants, assez des compromissions diplomatiques, assez de cette lâcheté politique ! Il est temps que les citoyens se lèvent, qu’ils disent NON à cette folie, et qu’ils signent massivement pour que ce référendum voie le jour. Parce que si on attend encore, demain, il sera peut-être trop tard.
👉 Cliquez sur ce lien pour signer la pétition : https://myjournal.fr/petition-referendum-immigration-philippe-de-villiers/