Entre poids économique et conséquences sociales : enquête détaillée sur la réalité du coût de l’immigration en France.

Immigration en France : Ce que révèle vraiment le coût pour les finances publiques

POLITIQUE

Il est des vérités qui dérangent. Des chiffres que l’on préfère ne pas voir. Des rapports que certains disqualifient avant même de les lire, par simple réflexe idéologique. Pourtant, ils existent. Ils sont là. Bruts, précis, implacables. Et cette fois, ils viennent s’inviter au cœur du débat parlementaire, au travers d’une proposition de résolution portée par Éric Ciotti, soutenue par Marine Le Pen et Jordan Bardella, visant à organiser un référendum sur l’immigration dès leur arrivée au pouvoir.

Dans les travées de l’Assemblée Nationale, cette proposition de loi, numérotée n°2120, commence à faire grand bruit. Elle se fonde sur des données issues d’organismes officiels, parmi lesquels l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, et relayées par des associations comme Contribuables Associés, qui depuis plusieurs années alertent sur un déséquilibre majeur : L’immigration, dans sa forme actuelle, coûterait bien plus qu’elle ne rapporte à la France.

Des chiffres qui glaçent

C’est un fait trop souvent occulté dans les débats médiatiques. Selon l’étude Contribuables Associés de 2023, le solde net de l’immigration serait largement négatif, atteignant des dizaines de milliards d’euros par an. Un gouffre budgétaire alimenté par plusieurs canaux :

  • 50 % des étrangers extra-européens présents en France ne travaillent pas.
  • Un MNA (mineur non accompagné) coûte jusqu’à 50 000 € par an aux départements.
  • 96 % des déboutés du droit d’asile restent sur le territoire, en toute illégalité.
  • L’aide médicale d’État (AME), qui permet aux étrangers en situation irrégulière d’accéder aux soins, coûte plus de 1 milliard d’euros par an.
  • Le coût de l’hébergement d’urgence, largement occupé par des étrangers sans titre, dépasse les 3 milliards d’euros annuels.
  • Les aides sociales (CAF, APL, RSA, allocations familiales…) distribuées sans condition de nationalité pèsent aussi lourdement sur les comptes publics.

Ce qui ne se chiffre pas mais qui pèse

Au-delà de l’aspect financier, d’autres impacts sont plus subtils, mais tout aussi réels. Ce que Marine Le Pen appelle la « charge mentale collective », c’est cette impression de dépossession, de ne plus reconnaître les quartiers, d’éviter certains lieux, certaines heures. Ce sont des stratégies d’évitement, des recours croissants aux écoles privées, des femmes qui n’osent plus porter une jupe, par peur d’être agressées ou jugées.

C’est aussi le recul des droits des femmes, parfois dans des zones sous emprise communautaire, où la loi de la République recule devant des coutumes patriarcales importées et tolérées par une forme de clientélisme politique.

Une proposition claire : Rendre la parole au peuple

Face à ce constat, Éric Ciotti, président des Républicains, a déposé un texte sans ambiguïté. Il appelle à organiser un référendum national sur la politique migratoire, sur le modèle de ce que d’autres pays européens ont déjà tenté ou envisagent de faire. Il propose de restaurer la souveraineté nationale en matière de droit d’asile, de prestations sociales, d’expulsions effectives et de naturalisations.

Marine Le Pen et Jordan Bardella, alliés circonstanciels de cette résolution, s’engagent à soumettre cette question au peuple français en cas de victoire lors de la prochaine présidentielle. Ils promettent un changement radical de cap, avec l’expulsion systématique des déboutésla suppression de l’AME, et la conditionnalité stricte des aides sociales à plusieurs années de présence sur le territoire et de cotisations.

Une fracture française grandissante

Les adversaires politiques de cette résolution crient déjà au populisme, à la stigmatisation, à l’amalgame. Mais sur le terrain, dans les bourgs désertés, les banlieues saturées, les classes moyennes épuisées, ce discours trouve un écho. Un électrochoc, même. Car les Français ne sont pas insensibles à la pression fiscale, à l’insécurité croissante, au manque de logements, à la saturation des hôpitaux et des écoles.

Pour beaucoup, cette proposition de loi est une bouffée d’oxygène démocratique. Elle donne enfin la possibilité au peuple de se prononcer, de choisir le modèle de société qu’il souhaite transmettre à ses enfants.

Une fracture irréversible ?

« L’immigration n’est pas une fatalité, mais une politique publique. Elle peut être stoppée, réorientée, choisie, maîtrisée. Il suffit d’un choix, d’un vote, d’un référendum. Le peuple a le droit de dire stop. »

Telle est la conviction portée par Éric Ciotti, partagée par Marine Le Pen et Jordan Bardella. Une conviction qui ne repose plus sur de vagues impressions, mais sur des chiffres, des rapports, des faits. Des faits que personne, aujourd’hui, ne peut plus balayer d’un revers de main.

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