Élodie : « Comment accepter que l’État nous prenne une part de notre salaire, puis encore une part quand on dépense, et enfin une autre quand on possède, alors que c’est toujours le même argent déjà imposé ? Est-ce vraiment l’arnaque du siècle ? »
L’arnaque du siècle : Quand l’État taxe encore et encore l’argent des Français
Il suffit parfois d’un simple schéma griffonné sur une feuille pour résumer un sentiment partagé par des millions de Français : Celui d’être sans cesse ponctionnés par un système fiscal qui ne laisse aucun répit. L’image circulant sur les réseaux sociaux est claire : Tu gagnes ton argent, tu le dépenses, tu possèdes des biens… et à chaque étape, l’État vient reprendre sa part.

Un constat brutal, résumé en trois phrases qui résonnent comme un coup de massue :
- Tu payes des impôts sur l’argent que tu gagnes.
- On te taxe sur l’argent que tu dépenses.
- On te taxe sur les choses que tu possèdes, achetées avec de l’argent déjà imposé.
Voilà le cycle infernal que beaucoup appellent aujourd’hui « l’arnaque du siècle ».
En France, la fiscalité est réputée parmi les plus lourdes du monde. Chaque année, le contribuable voit son salaire amputé par l’impôt sur le revenu et par les cotisations sociales. Déjà, l’impression est forte : Une partie du fruit de son travail ne lui appartient pas vraiment.
👉 Mais ce n’est que le début…
Quand il se rend dans un magasin pour acheter des biens de consommation, il retrouve une autre taxe incontournable : La TVA, cet impôt invisible mais implacable qui s’applique sur presque tout ce que nous consommons. Comme si l’argent perçu et déjà imposé devait être à nouveau grignoté.
Puis vient la troisième couche : Les taxes sur la possession. Avoir un logement ? Tu paieras la taxe foncière. Avoir une voiture ? Tu paieras la carte grise, la taxe sur les carburants, et même un malus écologique si ton véhicule ne respecte pas les normes imposées. Bref, posséder devient un luxe fiscal.
La colère gronde chez de nombreux Français qui se sentent piégés dans ce cercle vicieux. Ils dénoncent une triple imposition qui mine leur pouvoir d’achat et nourrit un profond sentiment d’injustice. Certains parlent d’« esclavage fiscal moderne », d’autres de « racket légal ».
Derrière cette mécanique se cache une réalité implacable : L’État finance ses infrastructures, ses services publics, son modèle social à travers ces multiples ponctions. Mais à force de tirer toujours plus sur la corde, les citoyens ont l’impression que leur argent leur échappe et que leur travail perd de sa valeur.
C’est ce paradoxe qui choque : Travailler dur pour voir son salaire diminué par les impôts, consommer et se voir taxé par la TVA, puis investir ou épargner et se retrouver encore une fois ponctionné. Un éternel recommencement qui fait naître cette question simple mais redoutable : Pourquoi l’argent déjà imposé l’est-il encore et encore ?
Cette « arnaque du siècle », comme l’appellent de nombreux internautes, soulève un débat de fond sur la justice fiscale, l’équité et la légitimité de l’impôt dans une société moderne. Si l’impôt est nécessaire pour faire fonctionner un pays, est-il pour autant juste qu’il frappe trois fois le même argent ?
Voilà le cri d’alarme d’une France qui travaille, qui consomme, qui possède… mais qui se sent dépouillée.
On peut également ajouter : -La taxe sur la taxe , une CSG » non » déductible », et les droits sur les successions, les frais d’obsèques plafonnés, et pour finir, le compte courant et Livrets …. , alimentés par les salaires, pension et autres déjà ponctionnés
L’Etat n’en a jamais assez. Marre du modèle social trop généreux , de ses infrastructures et services publiques à l’abandon.