Une patiente subit une IRM sans savoir qu’un sextoy cachait du métal. Résultat : un choc médical effrayant et une alerte mondiale de la FDA.

Elle a fait une IRM avec un godemichet entre les jambes et a failli mourir : Le drame évité de justesse

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Quand le plaisir vire au drame médical : Le jour où une femme a frôlé la mort en passant une IRM avec un sextoy inséré

États-Unis, février 2025. L’histoire semble irréelle. Et pourtant, elle est bien documentée, validée par la Food and Drug Administration (FDA) américaine, relayée par les professionnels de la santé, et désormais, racontée ici dans toute sa brutalité clinique. Une femme adulte, anonyme, se présente pour une IRM. Rien d’exceptionnel jusque-là. Ce qu’elle omet de mentionner au personnel soignant, c’est qu’elle porte encore un sextoy inséré dans son rectum.

Une erreur de jugement… ou de confiance ?

Elle pensait — sincèrement — que son sextoy était composé exclusivement de silicone. Elle l’avait acheté dans une boutique spécialisée, où les étiquettes vantaient une fabrication sans métal. Sauf que, comme souvent dans les produits bon marché ou de fabrication douteuse, le cœur de l’objet dissimulait une armature métallique.

Personne, ni elle ni le personnel médical, ne s’en est douté. Les procédures classiques ont été respectées : questionnaire de sécurité, vérification de l’absence de bijoux, de prothèses, de pacemaker… Rien n’a éveillé de soupçon. L’IRM est lancée.

Le champ magnétique infernal

L’IRM, ou Imagerie par Résonance Magnétique, fonctionne grâce à un champ magnétique gigantesque. Il est capable d’attirer le moindre fragment de métal à une vitesse fulgurante. Et lorsqu’il s’agit d’un objet introduit dans le corps humain, les conséquences peuvent être désastreuses.

À peine l’examen commence-t-il que l’inattendu se produit : la patiente ressent une douleur aiguë, une chaleur brutale, une sensation de déchirement interne. Puis, son corps se crispe et elle hurle. Le personnel arrête l’IRM, alerte les secours, mais il est déjà trop tard : le sextoy a été aspiré violemment vers le haut, déchirant les tissus internes, percutant les organes. Il a traversé son rectum à la vitesse d’un projectile et s’est logé dans l’abdomen, manquant de peu des artères vitales.

Une opération d’urgence… et un miracle chirurgical

Transportée en urgence vers le bloc opératoire, l’équipe de chirurgie découvre avec stupeur la trajectoire de l’objet. Le godemichet, pourtant de petite taille, a été propulsé avec une telle force qu’il a provoqué un traumatisme interne digne d’un accident de la route.

Grâce à la réactivité des médecins, la femme est sauvée. Elle survivra, non sans séquelles et sans une longue convalescence.

La FDA tire la sonnette d’alarme

L’incident a été officiellement consigné dans les rapports de la FDA, qui alerte aujourd’hui les hôpitaux et les centres d’imagerie médicale sur la nécessité de repenser les protocoles de sécurité. Jusqu’alors, jamais une question sur la présence d’un sextoy inséré n’était posée dans les questionnaires d’entrée en IRM.

Depuis, de nombreux établissements ont modifié leurs pratiques. Certains imposent un passage préalable aux toilettes ou intègrent désormais des questions très explicites sur tout objet corporel interne ou externe.

Témoignages de professionnels

Sur Reddit, dans la section professionnelle dédiée à la radiologie, les témoignages affluent :

« Le champ magnétique d’une IRM peut faire voler un trombone à 60 km/h. Imaginez ce que ça donne avec un sextoy de 200 grammes en métal caché… »

« On a toujours évité le sujet par gêne ou par tabou. Maintenant, on n’a plus le choix : on demande. C’est une question de vie ou de mort. »

Une leçon pour toutes et tous

Cette histoire, aussi incroyable qu’elle puisse paraître, rappelle une chose essentielle : le champ magnétique d’un IRM ne pardonne aucune erreur. Même les objets supposés « non métalliques » peuvent contenir des composants dangereux.

Si vous passez un examen IRM :

  • Vérifiez minutieusement votre corps et vos objets personnels.
  • Ne supposez jamais qu’un produit est sans métal, même s’il est estampillé « silicone » ou « plastique ».
  • En cas de doute, informez le personnel. Mieux vaut prévenir que vivre un enfer chirurgical.

Une douleur évitable… si le silence n’avait pas prévalu

Manon, une internaute qui a lu cette histoire, confie :

« On a toutes honte de parler de ce qu’on garde en soi. Mais après avoir lu ça, je me dis que ma vie vaut bien plus qu’un tabou. »

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Cette mésaventure choquante est une piqûre de rappel pour les patient·e·s, les professionnels de santé, et même les fabricants de sextoys. Entre les jambes, dans un tiroir ou sur une étagère, un sextoy ne devrait jamais être pris à la légère… surtout pas à l’entrée d’une IRM.

Elle a frôlé la mort dans un hôpital américain pour une simple erreur de jugement. Et aujourd’hui, son histoire sauvera peut-être des vies. À condition de ne pas la prendre à la légère.

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