👉 « Et si la France était aujourd’hui à un tournant décisif de son histoire politique, où le président Emmanuel Macron n’aurait plus d’autre choix que de dissoudre l’Assemblée Nationale ou remettre sa démission face à la pression de Jordan Bardella ? »
Le 26 août 2025, un frisson a parcouru les plateaux télévisés, les rédactions et même les couloirs feutrés du Palais Bourbon. Sur le plateau du 20H de TF1, Jordan Bardella, président du Rassemblement National, a lâché une phrase qui résonne encore comme un coup de tonnerre :
« Emmanuel Macron doit prononcer soit la dissolution de l’Assemblée Nationale, soit remettre sa démission. »
Une phrase lourde, brutale, presque irrévocable. Une phrase qui plonge la vie politique française dans un climat de tension inédit depuis plusieurs décennies.
Une France au bord de l’asphyxie politique
Depuis plusieurs mois, la France vit au rythme d’une instabilité institutionnelle grandissante. Les réformes contestées, l’impopularité croissante du président, les colères sociales et la montée en puissance de l’opposition dessinent un paysage d’incertitude.
Les débats à l’Assemblée Nationale tournent souvent à l’affrontement. Les motions de censure s’accumulent, les lois sont bloquées, et les Français, désabusés, se détournent peu à peu d’un pouvoir central jugé impuissant.
C’est dans ce contexte explosif que Bardella a choisi son moment, son lieu et ses mots. Un ultimatum médiatisé au cœur de la première chaîne nationale, comme pour s’assurer que chaque citoyen, chaque élu, chaque opposant entende l’exigence : Macron doit trancher.

Dissolution ou démission : Deux chemins périlleux
La dissolution de l’Assemblée Nationale est un outil constitutionnel dont dispose le président. Elle permet de convoquer de nouvelles élections législatives, dans l’espoir de retrouver une majorité stable. Mais aujourd’hui, cette arme semble à double tranchant : Les sondages donnent le Rassemblement National grand favori. Dissoudre, ce serait peut-être offrir à Jordan Bardella et à ses troupes une victoire éclatante, transformant l’opposition en majorité.
L’autre option, la démission présidentielle, reste extrêmement rare dans l’histoire de la Ve République. Elle constituerait un aveu de faiblesse monumental et ouvrirait la voie à une présidentielle anticipée. Une éventualité qui bouleverserait encore plus l’équilibre fragile de la vie politique française.
Dans les deux cas, l’ultimatum posé par Bardella enferme Emmanuel Macron dans une impasse redoutable : Agir et risquer de perdre, ou ne rien faire et subir l’accusation d’immobilisme.
Bardella, le stratège de l’ultimatum
Il serait réducteur de voir dans cette phrase une simple provocation. Jordan Bardella a choisi ses mots avec soin. En appelant Macron à dissoudre ou à démissionner, il se place dans une posture de leader national capable d’imposer le tempo politique.
À seulement 30 ans, il se présente comme l’alternative crédible, l’homme fort prêt à assumer les responsabilités d’un pays en crise. Devant les caméras de TF1, il n’a pas seulement interpellé Emmanuel Macron, il a parlé directement aux Français : « Voyez, je suis prêt. »
Ce geste, pensé comme un coup d’échec et mat, rappelle certaines grandes heures de la politique française, quand un seul mot pouvait renverser l’équilibre des pouvoirs.
Le spectre d’une crise institutionnelle
En lançant cet ultimatum, Bardella n’a pas seulement secoué le gouvernement : Il a ravivé un spectre inquiétant, celui de la crise institutionnelle.
Jamais depuis la dissolution de 1997, décidée par Jacques Chirac et aboutissant à une cohabitation, la France n’avait été confrontée à une telle menace d’instabilité politique. Mais cette fois, la donne est encore plus grave : Le président est affaibli, le Parlement fracturé, et l’opinion publique lassée des querelles politiciennes.
Dans les cafés, sur les réseaux sociaux, dans les foyers, une question brûle toutes les lèvres : Macron tiendra-t-il bon, ou cédera-t-il sous la pression ?
Une France qui observe, un monde qui scrute
Au-delà de nos frontières, les chancelleries européennes et internationales observent avec inquiétude. La France, puissance nucléaire, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU et pilier de l’Union européenne, peut-elle se permettre un tel séisme institutionnel ?
Angela Merkel avait coutume de dire que lorsque la France s’enrhumait, l’Europe toussait. Aujourd’hui, si la France bascule dans une crise politique majeure, ce sont toutes les équilibres européens qui risquent d’être ébranlés.
Les Français face au choix
Au fond, la sortie de Bardella soulève une question simple mais terriblement lourde : Et si c’étaient les Français eux-mêmes qui devaient décider ? Dissoudre l’Assemblée, organiser de nouvelles élections, c’est redonner la parole au peuple. Forcer un président à démissionner, c’est provoquer une présidentielle anticipée.
Dans les deux cas, les électeurs deviendraient les arbitres de l’histoire. Et si la démocratie retrouvait ainsi toute sa vigueur, mais aussi toute sa fragilité ?
Un ultimatum qui marque un tournant
Quoi qu’il advienne, la soirée du 26 août 2025 restera comme une date clé. Jordan Bardella, en exigeant de Macron une décision radicale, a franchi un cap symbolique. Il n’est plus seulement le chef de file d’une opposition contestataire, il se pose comme l’homme capable de contraindre le président en exercice à choisir son destin.
Entre dissolution et démission, Emmanuel Macron est placé devant un dilemme historique. Et au milieu de cette tempête, un peuple attend, observe, s’impatiente. La France vit un de ces instants rares où tout peut basculer.
✅ Article rédigé par MyJournal.fr
Je suis entièrement d’accord avec Jordan Bardella : Emmanuel Macron doit démissionner, et le plus vite possible. Ce n’est pas seulement une opinion politique, c’est une conviction forgée par des années d’épreuves, de déceptions et de colère accumulée.
Depuis 2017, Macron n’a cessé de nous promettre une France plus forte, plus juste, plus unie. Mais aujourd’hui, qu’avons-nous sous les yeux ? Un pays fracturé de toutes parts, où les classes populaires ne croient plus à la politique, où les familles galèrent à payer leurs factures, où les travailleurs sont pressés comme des citrons, et où la jeunesse désespère. J’ai moi-même vu mes proches s’endetter pour survivre, j’ai vu des amis quitter la France faute d’avenir, j’ai vu mes voisins renoncer à se soigner faute de moyens. Est-ce cela le progrès qu’on nous avait promis ?
Le président n’a plus aucune prise sur la réalité. Chaque réforme qu’il tente d’imposer passe dans la douleur, sans dialogue, sans compromis, comme si l’avis du peuple ne comptait plus. On nous a parlé de démocratie, mais on nous sert l’autoritarisme. On nous a promis une République exemplaire, mais on a récolté l’arrogance, le mépris et les petites phrases qui blessent plus qu’elles ne rassemblent.
Dissoudre l’Assemblée Nationale ne changerait rien à cette situation. Cela ne ferait que prolonger l’agonie, offrir quelques mois supplémentaires à un président isolé, retranché dans son palais, coupé de la réalité des Français. Non, la solution n’est plus là. La seule porte de sortie, c’est sa démission.
Et qu’on ne vienne pas nous dire que c’est impossible ! Dans l’histoire, de grands hommes ont su reconnaître leurs limites. Démissionner, ce n’est pas une défaite personnelle, c’est un acte de courage. C’est reconnaître que l’on n’a plus la confiance du peuple et que le pays doit retrouver un nouveau souffle.
Je crois sincèrement que si Emmanuel Macron posait sa démission, il entrerait dans l’Histoire autrement. Non pas comme le président qui a échoué, mais comme celui qui a su, dans un sursaut de lucidité, rendre la parole aux Français. Et cette parole, aujourd’hui, elle est claire : Nous voulons une autre direction, un autre projet, une autre vision.
Je vis dans une petite ville de province, et partout autour de moi, j’entends la même chose : Les gens sont fatigués, lassés, épuisés par les promesses non tenues. Beaucoup ne votent plus parce qu’ils ne croient plus à rien. D’autres votent par colère, juste pour faire entendre leur cri de détresse. Bardella, en posant cet ultimatum, a mis des mots sur ce que ressent une grande partie de la population : Trop, c’est trop.
Macron doit partir. Pas demain, pas dans six mois, pas à la fin de son mandat. Maintenant. Parce que chaque jour de plus passé à l’Élysée éloigne un peu plus la France de la confiance en elle-même. Parce que chaque jour de plus entretient la fracture et la rancune. Parce que chaque jour de plus est un jour perdu pour reconstruire l’unité nationale.
Alors oui, je le dis haut et fort : Emmanuel Macron doit remettre sa démission. C’est le seul choix possible, le seul geste responsable. Pour lui. Pour nous. Pour la France.
Macron démission ! Jordan Président !