« Et si, au soir d’avril 2027, la France se réveillait sous la présidence du Rassemblement National, quelles seraient les toutes premières décisions chocs qui bouleverseraient notre quotidien ? »
Dès son installation à l’Élysée, le président Bardella lance la grande promesse inscrite au cœur de l’ADN du RN : la préférence nationale. Cette réforme, évoquée depuis des années par Marine Le Pen et reprise avec force par ses lieutenants, prévoit de modifier la Constitution afin que l’accès au logement social, à l’emploi public et à certaines aides sociales soit réservé en priorité aux Français.
Les débats s’annoncent houleux. Dans les assemblées, les juristes s’interrogent sur la faisabilité d’une telle révision constitutionnelle. Mais du côté du nouveau gouvernement, la détermination est affichée : limiter drastiquement l’immigration légale, réformer le droit du sol, expulser plus rapidement les étrangers en situation irrégulière et interdire l’accès à certaines prestations aux étrangers.
Dans les gares, dans les cités, dans les campagnes, les conversations se font tendues. Certains applaudissent, y voyant la réalisation d’une promesse attendue depuis longtemps. D’autres dénoncent une remise en cause des valeurs fondamentales de la République et de l’égalité des droits. Les associations de défense des migrants, déjà sur le pied de guerre, préparent manifestations et recours juridiques.

Pouvoir d’achat : Le coup de pouce fiscal du RN
La deuxième mesure prioritaire vise directement le portefeuille des Français. Car le Rassemblement National l’a compris depuis longtemps : si le sujet de l’immigration mobilise les foules, c’est bien le pouvoir d’achat qui décide des élections.
Ainsi, dès 2027, une réforme phare est annoncée : la baisse de la TVA sur les carburants, l’électricité, le gaz et les produits de première nécessité. L’idée est simple : rendre le quotidien plus supportable pour les classes moyennes et populaires, étranglées par l’inflation des dernières années.
Dans les stations-service, les panneaux affichent enfin une baisse, modeste mais réelle, du prix du litre d’essence. Dans les supermarchés, les ménages espèrent un soulagement à la caisse. Les retraités aux petites pensions, les familles nombreuses et les travailleurs modestes voient dans cette mesure un signe concret que le pouvoir écoute enfin leur détresse.
Mais les économistes, eux, s’interrogent : comment financer une telle réforme dans un pays déjà lourdement endetté ? Les experts du Trésor public préviennent que la facture fiscale pourrait être colossale. Le gouvernement RN répond par un discours ferme : « Nous choisissons de rendre l’argent aux Français avant de satisfaire Bruxelles ».
Sécurité : Prisons, police et justice musclée
La troisième priorité ne surprend personne : la sécurité. Dès les premiers mois, le RN annonce un plan massif pour renforcer la police, la gendarmerie et la justice.
Au programme : recrutement de milliers de policiers supplémentaires, augmentation des moyens matériels, et surtout construction de nouvelles places de prison.
Dans les tribunaux, les juges reçoivent des instructions claires : durcir les sanctions pour les délits graves et instaurer des peines minimales obligatoires pour les récidivistes. Les syndicats de magistrats s’alarment d’une « atteinte à l’indépendance judiciaire », mais le gouvernement assume, arguant que la population exige « une tolérance zéro face à la délinquance ».
Dans les quartiers populaires, certains habitants se disent rassurés par la perspective de plus de sécurité, tandis que d’autres redoutent une stigmatisation accrue et un climat policier tendu. Les images d’arrestations musclées circulent déjà sur les réseaux sociaux, provoquant des débats sans fin.

Une France à la croisée des chemins
Ces trois mesures – préférence nationale, baisse de TVA et renforcement sécuritaire – dessinent la feuille de route des premiers mois du Rassemblement National au pouvoir. Elles cristallisent les espoirs d’une partie de la population et les craintes d’une autre.
Pour les partisans du RN, c’est enfin « la France des oubliés » qui reprend le contrôle. Pour ses opposants, c’est le début d’une dérive autoritaire et d’un isolement de la France en Europe.
Dans les cafés, dans les foyers, sur les bancs des universités et jusque dans les couloirs de Bruxelles, la question résonne : jusqu’où ira ce nouveau pouvoir ?
Un avenir incertain mais décisif
Si le Rassemblement National accède à l’Élysée en 2027, l’année qui suivra sera décisive. Trois réformes, trois chantiers titanesques, trois bouleversements sociaux et politiques. Immigration, pouvoir d’achat, sécurité : tout est là pour façonner une France nouvelle.
Mais entre les promesses électorales et la réalité institutionnelle, entre les attentes populaires et les contraintes économiques, le chemin sera semé d’embûches. La France, une fois encore, se retrouve à la croisée des chemins.
👉 Article rédigé par MyJournal.fr
Je suis avec vous, l’espérance c’est bien Marine
J’ai longtemps hésité à m’exprimer, mais je pense qu’il est temps d’être clair : En 2027, je voterai pour le Rassemblement National. Pourquoi ? Parce que je crois que leurs trois premières mesures correspondent exactement à ce que beaucoup de Français attendent depuis des années, mais que personne n’a jamais osé mettre en place.
Pendant des décennies, on nous a promis des réformes courageuses. On a eu la gauche, la droite, puis Macron et sa fameuse “nouvelle politique”. Résultat ? Une France plus divisée que jamais, des factures qui explosent, des salaires qui stagnent, une insécurité quotidienne qui touche même les petites villes, et un système social à bout de souffle. Beaucoup comme moi n’en peuvent plus de ces promesses jamais tenues.
Ce que j’apprécie avec le RN, c’est la clarté de leur discours. Les trois réformes annoncées touchent directement les préoccupations réelles des Français : Mieux protéger ceux qui travaillent et cotisent depuis toujours, redonner du pouvoir d’achat à ceux qui n’arrivent plus à boucler leurs fins de mois, et restaurer l’autorité de l’État face à la délinquance. Ce ne sont pas des débats d’experts ou de technocrates, ce sont des réponses concrètes aux problèmes que nous vivons tous les jours.
On me dit souvent : “Mais attention, voter RN c’est dangereux !”. À cela je réponds : Dangereux par rapport à quoi ? Cela fait plus de 40 ans que les mêmes partis se succèdent au pouvoir, et regardez où nous en sommes. Le chômage reste élevé, la dette s’envole, les jeunes n’ont plus d’avenir clair, les retraités comptent chaque centime. Est-ce qu’on vit mieux aujourd’hui qu’il y a dix ou vingt ans ? Non. Alors pourquoi refuser d’essayer autre chose ?
Et puis, il ne faut pas l’oublier : Le Rassemblement National n’a jamais gouverné la France. On ne peut pas leur reprocher un bilan, puisqu’ils n’ont jamais été aux manettes. Leur faire confiance en 2027, ce n’est pas un saut dans le vide, c’est simplement donner une chance à une nouvelle équipe de mettre en pratique ce qu’elle promet depuis longtemps. Honnêtement, cela ne pourra pas être pire qu’avec la Macronie.
J’entends déjà certains dire que l’Europe va réagir, que les marchés vont trembler, que le monde entier va s’inquiéter. Mais est-ce que notre rôle, en tant que citoyens français, c’est de voter pour faire plaisir à Bruxelles ou à Berlin ? Non. Notre rôle, c’est de voter pour nous, pour nos familles, pour notre avenir.
Alors oui, en 2027, je mettrai mon bulletin RN dans l’urne. Non par idéologie aveugle, mais parce que je veux enfin voir si un autre chemin est possible pour notre pays. Et je sais que je ne suis pas le seul à penser ainsi. Les trois mesures annoncées ne sont peut-être qu’un début, mais elles sont déjà à la hauteur des attentes de millions de Français qui, comme moi, veulent tourner la page des promesses brisées.