Plongé dans l’inconscience totale pendant deux minutes, il raconte une traversée hors du corps, une lumière éclatante… et une vie qui bascule.
Il est déclaré cliniquement mort pendant deux minutes. Le cœur arrêté, l’électrocardiogramme plat, l’homme plonge dans cet état que peu osent raconter. Ce récit, à la frontière du tangible et de l’ineffable, interroge notre vision de la vie… et de ce qu’il peut y avoir après.
Une pause dans l’existence
Tout commence par un arrêt brutal. Le corps lâche prise, les moniteurs cessent de vibrer. Pendant deux minutes, plus aucun signe vital ne s’affiche. L’équipe médicale, concentrée, lutte pour ramener la vie. De l’autre côté, c’est un monde différent qui s’ouvre.
Hors du corps, hors du temps
Dans ce silence extrême, il ressent une sortie du corps : Il voit son propre corps allongé, entouré de blancs et de machines, comme spectateur d’un film dont il est à la fois acteur et témoin. Puis un tunnel — longue traînée sombre bordée d’une lumière vive — le mène vers une immensité lumineuse. Il ne voit ni visages hostiles, ni jugements, seulement une présence bienveillante, une paix absente jusqu’alors.
Une lumière qui révèle
La lumière n’aveugle pas. Elle enveloppe. Elle délivre. Dans ce moment suspendu, il comprend que tout ce qu’il croyait immuable est fragile : l’ego, le temps, la matière. Il perçoit que la « vie terrestre » n’est qu’un fragment, une étape. Il ressent un amour immense, sans limite, incomparable à tout ce qu’il expérimentait jusque-là.
Le retour
Puis, brusquement, ce n’est plus cet ailleurs mais ici-bas. Il revient. Les moniteurs rebattent. Le corps reprend. Le temps se réactive. Il ouvre les yeux, marqué. La réalité lui paraît à présent plus étroite, plus dense. Il se sait changé.
Une vie transformée
Depuis, il ne ressent plus la même peur de la mort. La course effrénée du quotidien s’est ralentie. Il ressent davantage d’empathie, de curiosité pour ce qui dépasse l’immédiat. Ce qu’il a vécu reste mystérieux — mais il ne peut plus faire comme si rien ne s’était passé.
Et maintenant ?
Son récit pose une question : Et si la mort n’était pas une fin, mais une transition ? Une porte entrouverte vers quelque chose d’inconnu, que certains effleurent même brièvement. La science tente d’expliquer, mais le témoignage reste un espace de silence où la conscience s’est sentie libre.
👉 SOURCE : MSN Actualité
 
	