Violences policières : Quand un journaliste se fait agresser par la Brav-M !

Nouvelle pièce à ajouter au dossier des Brav-M. Cette fois, contre la liberté d’informer, avec l’agression de notre journaliste Amar Taoualit, délibérément aspergé de gaz lacrymogène le 16 mars 2023.
La BRAV-M (Brigade de Répression de l’Action Violente Motorisée) est une unité de police française spécialisée dans la lutte contre les rodéos urbains et les comportements dangereux à moto. Elle a été créée en 2019 en réponse à l’augmentation des incidents impliquant des motos dans les zones urbaines.
La BRAV-M est composée de policiers à moto spécialement formés pour intervenir rapidement et efficacement dans les situations de rodéo et de conduite dangereuse à moto. Ils utilisent des motos puissantes et équipées de caméras pour surveiller les zones à risque et repérer les conducteurs dangereux.
L’objectif de la BRAV-M est de prévenir les incidents en identifiant et en arrêtant les conducteurs dangereux avant qu’ils ne causent des accidents ou des dommages matériels. L’unité travaille en collaboration avec d’autres services de police et les autorités locales pour mettre en place des mesures de prévention et de dissuasion.
Depuis sa création, la BRAV-M a été déployée dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, Marseille, Lille, Toulouse et Nantes. Elle a permis de réduire le nombre d’incidents impliquant des motos et d’améliorer la sécurité routière dans les zones urbaines.
Cependant, la BRAV-M a également été critiquée pour sa méthode d’intervention souvent musclée et pour le risque de stigmatisation des conducteurs de moto en général. Certains militants des droits des motards ont appelé à une approche plus constructive et à la mise en place de mesures de prévention à long terme pour lutter contre le comportement dangereux à moto.
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