Virus USB : elle rechargeait… et son sextoy a infecté son PC

Elle attrape un virus informatique en chargeant son sextoy sur une prise USB

INSOLITE

Quand le plaisir rencontre la technologie, cela peut parfois virer au cauchemar numérique. C’est ce qu’a découvert une utilisatrice qui, en rechargeant son sextoy via le port USB de son ordinateur, a involontairement déclenché une infection informatique. Un malware redoutable, nommé Lumma Stealer, s’est invité sur son PC, transformant un moment intime en véritable leçon de cybersécurité.

Le jour où Cupidon a planté Windows

Tout avait pourtant commencé comme une simple recharge. L’objet connecté, vendu comme « intelligent » et « compatible USB », promettait de s’allumer en quelques minutes. Mais derrière son design rose et sa promesse de plaisir se cachait un intrus : Un virus informatique capable de voler des données personnelles.

L’utilisatrice, pensant faire un geste banal, a branché son jouet sur le port USB de son ordinateur portable. En quelques secondes, son antivirus s’est emballé. Le sextoy n’avait pas seulement besoin d’électricité… il transportait un malware, un vrai, du nom de Lumma Stealer, spécialisé dans le vol de données confidentielles.

Lumma Stealer : Le malware qui fouille sous la couette numérique

Derrière son nom presque mignon, Lumma Stealer est un logiciel espion redoutable. Une fois activé, il explore les disques durs, intercepte les identifiants enregistrés dans les navigateurs, siphonne les portefeuilles de cryptomonnaies et envoie le tout à un serveur distant.

Découvert sur des forums du dark web, ce virus se propage à travers des supports infectés – Clés USB, chargeurs et désormais objets connectés inattendus.

Ce type de malware ne distingue pas la nature de l’appareil branché : Qu’il s’agisse d’une clé, d’un smartphone ou d’un accessoire plus intime, le danger est identique dès lors qu’il y a un transfert de données.

Les objets connectés, ces nouveaux espions du quotidien

Avec la démocratisation du « smart » – montres, enceintes, frigos, et maintenant sextoys –, les cybercriminels disposent d’une surface d’attaque gigantesque. Certains accessoires contiennent des microprocesseurs capables de stocker des mises à jour logicielles, mais aussi… des virus.

Brancher ces appareils sur un ordinateur permet au malware d’exploiter le canal de transfert USB pour se propager. C’est une faille classique : Beaucoup d’utilisateurs ignorent que le câble USB peut transporter de l’énergie mais aussi des données.

Les experts en cybersécurité rappellent une règle simple :

⚠️ Ne jamais recharger un objet personnel sur le port USB d’un ordinateur, mais utiliser un adaptateur secteur classique.

L’humour au service de la prévention

L’affaire a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, provoquant une avalanche de réactions amusées :

« Après l’amour, la connexion fatale », « Quand ton jouet télécharge un virus au lieu de vibrer » ou encore « Le premier malware à code rose ».

Mais derrière la blague se cache un vrai sujet : La sécurité numérique dans l’intimité.

Le marché des sextoys connectés explose et la plupart fonctionnent avec des applications, du Bluetooth ou des mises à jour logicielles. Ces outils, s’ils sont mal sécurisés, peuvent devenir une porte d’entrée pour les hackers.

Quand le plaisir devient une leçon de cybersécurité

Ce fait divers insolite rappelle une chose essentielle : Tout appareil connecté est potentiellement piratable.

Un port USB n’est pas qu’une prise électrique, c’est aussi une voie d’accès à votre vie numérique.

La cybersécurité, ce n’est plus seulement une affaire d’ingénieurs : C’est une question de réflexe, même dans les moments les plus… intimes.

🧠 Moralité : Gardez vos câbles pour l’électricité, pas pour les données.

👉 Article inspiré de l’enquête publiée par Comment Ça Marche.

2 thoughts on “Elle attrape un virus informatique en chargeant son sextoy sur une prise USB

  1. 🧠 L’avis d’un expert en cybersécurité : “Les sextoys connectés sont de vrais ordinateurs miniatures”

    “Les objets connectés intimes doivent être traités comme des appareils électroniques à part entière. Ce ne sont pas des jouets au sens informatique du terme.”

    Selon cet expert, les sextoys connectés modernes sont équipés de microprocesseurs, de mémoire interne et parfois même de connexions Bluetooth ou Wi-Fi. Ces composants rendent possibles les mises à jour logicielles… mais ouvrent aussi la porte à d’éventuelles failles.

    👉 Voici ses recommandations essentielles :

    1️⃣ Toujours charger sur secteur, jamais sur un ordinateur.

    Les ports USB d’un ordinateur ne servent pas qu’à alimenter : ils échangent aussi des données. Un simple branchement peut suffire pour qu’un virus comme Lumma Stealer s’installe.

    2️⃣ Utiliser un câble “charge only”.

    Il existe des câbles ne transmettant que l’électricité, sans transfert de données. C’est un bon compromis pour limiter les risques.

    3️⃣ Mettre à jour ses antivirus et son système.

    Un bon logiciel de protection peut bloquer une tentative d’infection dès la connexion du périphérique.

    4️⃣ Éviter les sextoys de marques inconnues ou à bas prix.

    Certains produits vendus sur des sites étrangers ne respectent aucune norme de sécurité numérique. Les malwares y sont parfois intégrés dès la fabrication.

    5️⃣ Changer régulièrement ses mots de passe.

    Et ne jamais les enregistrer directement dans le navigateur. Les malwares comme Lumma Stealer se nourrissent de ces données enregistrées automatiquement.

    👉 Une conclusion claire :

    🚨 « Le plaisir connecté n’a rien de dangereux… à condition de savoir ce qu’on branche et où on le branche.”

  2. 👉 “Je n’aurais jamais cru que quelque chose d’aussi intime puisse détruire ma vie numérique. Je n’en dors plus la nuit.”

    Tout a commencé un soir banal, dans mon petit appartement. Mon sextoy venait de tomber en panne de batterie, et j’ai eu la mauvaise idée de le brancher sur le port USB de mon ordinateur portable pour le recharger plus vite. J’avais lu quelque part que c’était sans danger… J’aurais mieux fait de m’abstenir.

    Quelques secondes après la connexion, l’écran de mon PC s’est figé. Une alerte rouge est apparue, mais je n’ai pas eu le temps de comprendre. J’ai débranché aussitôt, pensant avoir évité le pire. En réalité, le virus Lumma Stealer venait déjà de s’installer en silence.

    Le lendemain, j’ai voulu consulter mon compte bancaire. Impossible de me connecter : “mot de passe incorrect”. J’ai tenté mes autres accès — messagerie, réseaux sociaux, espace de santé — tout avait été modifié. Une sensation d’effroi m’a envahie.

    En quelques heures, j’avais perdu le contrôle total de ma vie numérique.

    Mon compte bancaire a été vidé de plusieurs centaines d’euros. Les pirates avaient récupéré mes identifiants enregistrés sur mon navigateur, mes numéros de carte, mes mots de passe. Même ma messagerie professionnelle a été utilisée pour envoyer des spams à mes contacts.

    Je me suis sentie violée numériquement, salie jusque dans mon intimité.

    J’ai déposé plainte à la gendarmerie. L’agent m’a expliqué que ce genre de malware, Lumma Stealer, circule sur des forums du dark web et qu’il suffit d’un simple branchement USB pour contaminer un ordinateur. Je n’arrivais pas à y croire.

    Comment un objet censé procurer du plaisir avait pu devenir l’arme d’une cyberattaque ?

    Aujourd’hui encore, je n’ai pas retrouvé tous mes comptes. Certains accès sont définitivement perdus. Je vis avec la peur constante d’une nouvelle attaque, d’un nouveau vol. J’ai dû faire bloquer ma carte bancaire, changer mon numéro de téléphone, recréer mes adresses mail une par une.

    J’en parle aujourd’hui pour prévenir les autres : N’importe quel appareil électronique peut cacher un malware, même les plus personnels.

    Ne branchez jamais vos objets intimes sur un ordinateur. J’aurais voulu qu’on me le dise avant.

    👉 “Depuis, je regarde mon ordinateur comme un intrus. Il a tout pris, jusqu’à ma tranquillité.”

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