« Comment la France a-t-elle pu atteindre en seulement six mois de 2025 le chiffre record de 244 squats illégaux occupés par des migrants, faisant craindre aux renseignements une nouvelle explosion des tensions sociales ? »
Quand les chiffres deviennent des cris d’alerte
Le nombre pourrait sembler abstrait. Mais derrière ce chiffre, 244, ce sont des murs fissurés, des usines abandonnées, des immeubles désertés qui deviennent soudain le refuge fragile de vies en errance. Selon un rapport révélé par Europe 1 et repris par Valeurs Actuelles, les services de renseignement tirent la sonnette d’alarme : Jamais la France n’avait connu autant de squats illégaux occupés par des migrants que durant les six premiers mois de 2025.
Le constat est sans appel : En un semestre, la barre des 244 squats illégaux a été franchie. C’est 55% de plus qu’en 2024. Plus de 2 200 migrants y trouvent refuge, souvent dans des conditions d’extrême précarité.
Des zones particulièrement touchées
Le phénomène n’est pas homogène. Plusieurs zones sont particulièrement visées.
- Perpignan et Toulouse, villes du sud où la pression migratoire est forte.
- Le Pas-de-Calais, porte d’entrée vers le Royaume-Uni, où les campements et squats se multiplient à proximité des axes stratégiques.
Dans ces territoires, la présence de migrants clandestins dans des squats suscite autant d’inquiétudes que de débats. Les riverains s’interrogent, les élus alertent, les associations tentent de gérer une misère humaine croissante.
Des réseaux bien organisés derrière ces occupations
Les renseignements ne se contentent pas de constater les faits. Ils décrivent une organisation.
Des associations d’aide aux migrants, épaulées par des militants d’ultragauche, orchestreraient parfois ces occupations. Ces réseaux repèrent des bâtiments désaffectés, organisent leur ouverture et facilitent l’installation des occupants.
Cette mécanique bien huilée pose question : Comment concilier l’urgence humanitaire avec le respect du droit de propriété et de la sécurité publique ?
Les tensions sur le terrain
Ces squats, loin d’être de simples abris, deviennent parfois le théâtre de tensions. Les conditions de vie y sont difficiles, marquées par la promiscuité, l’absence d’hygiène et, parfois, des violences internes ou avec le voisinage.
Les autorités locales se disent démunies. Expulser prend du temps et nécessite des décisions judiciaires. Laisser en l’état engendre des risques sanitaires et sécuritaires. Le dilemme est permanent.
Un signal fort pour la société française
Les 244 squats recensés en 2025 ne sont pas seulement des chiffres. Ils reflètent l’échec des politiques migratoires, l’impasse d’un système d’accueil saturé, et le malaise d’une société qui peine à trouver des solutions pérennes.
Les renseignements, en relayant ces données, ne cherchent pas seulement à informer. Ils lancent un avertissement : Si la tendance se poursuit, les tensions pourraient s’aggraver et nourrir des fractures sociales déjà béantes.
Le miroir d’une crise
Ce constat dressé par les services de renseignement et révélé par Valeurs Actuelles est un miroir tendu à la France. Derrière chaque squat, il y a des familles, des destins brisés, mais aussi des quartiers fragilisés, des habitants inquiets et une société en quête de réponses.
244 squats illégaux occupés en six mois par des migrants en France : Ce n’est plus une statistique, c’est le récit d’un pays confronté à ses propres contradictions.

Le cadre légal des squats en France
En droit français, un squat est l’occupation illégale d’un local, maison, immeuble ou terrain sans l’autorisation du propriétaire. L’article 226-4 du Code pénal sanctionne l’introduction et le maintien dans le domicile d’autrui par manœuvre, menace, contrainte ou effraction.
- Peine encourue : 1 an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende.
Cependant, la distinction est essentielle :
- Si le bien est un domicile (résidence principale ou secondaire), l’expulsion peut être rapide (procédure accélérée, souvent en 48 heures).
- Si le bien est inhabité ou vide, la procédure est plus longue, nécessitant une décision de justice.
La procédure d’expulsion
- Plainte ou signalement du propriétaire : Celui-ci doit prouver qu’il est bien le détenteur légal du bien squatté.
- Constat d’huissier ou intervention des forces de l’ordre.
- Saisine du préfet ou du tribunal judiciaire selon les cas.
- Ordonnance d’expulsion : Une fois obtenue, elle doit être notifiée aux occupants.
- Exécution par la préfecture : Avec parfois le concours de la police.
⚖️ Attention : La trêve hivernale (du 1er novembre au 31 mars) s’applique en principe, mais ne protège pas les squatteurs si le logement appartient à un particulier et qu’il s’agit de sa résidence principale.
Les droits des propriétaires
- Droit au respect de la propriété privée (article 544 du Code civil).
- Possibilité de saisir la justice pour demander l’expulsion.
- Indemnisation possible pour les préjudices subis (loyers impayés, dégradations).
Les droits des occupants
Même s’ils sont dans une situation illégale, les squatteurs disposent de droits procéduraux :
- Ils doivent être informés de la procédure engagée contre eux.
- Ils peuvent demander un délai de grâce (article L412-3 du Code des procédures civiles d’exécution), pouvant aller de 1 mois à 1 an selon leur situation (famille, enfants, état de santé).
Le cas des migrants dans les squats
Le rapport révélé par Valeurs Actuelles en septembre 2025 indique que 244 squats sont occupés illégalement par des migrants au premier semestre, soit une hausse de 55% par rapport à 2024. Plus de 2 200 personnes y vivent.
Dans ces situations, les migrants sont souvent en attente d’une régularisation ou d’un hébergement d’urgence. Les associations rappellent que l’État a une obligation d’accueil temporaire pour les demandeurs d’asile (directive européenne 2013/33/UE), mais les capacités d’hébergement étant saturées, beaucoup se retrouvent dans des squats.
Entre droit et humanité
L’affaire des 244 squats occupés par des migrants met en lumière le conflit permanent entre droit de propriété et droits humains fondamentaux.
- D’un côté, les propriétaires exigent le respect de leur bien et une protection rapide contre les intrusions.
- De l’autre, des milliers de migrants cherchent un toit, faute de structures suffisantes pour les accueillir.
Ce dilemme, relayé par Valeurs Actuelles, n’est pas seulement juridique : Il interroge la société française sur sa capacité à gérer la crise migratoire dans le respect du droit et de la dignité humaine.

Que faire si son logement est squatté ? Le guide pratique 2025
En 2025, les occupations illégales de logements explosent : Selon Valeurs Actuelles, 244 squats de migrants ont été recensés rien qu’au premier semestre, une hausse de 55% par rapport à 2024. Dans ce contexte, de nombreux propriétaires se demandent : Que faire si leur logement est squatté ? Voici un guide pratique, clair et détaillé.
Étape 1 — Vérifier la situation
- Si le logement squatté est votre résidence principale (ou secondaire utilisée régulièrement) → la procédure d’expulsion est accélérée.
- Si le logement est vide ou inhabité, la procédure sera judiciaire et donc plus longue.
Étape 2 — Porter plainte immédiatement
- Rendez-vous au commissariat ou à la gendarmerie.
- Citez l’article 226-4 du Code pénal qui sanctionne l’occupation illégale d’un domicile.
- Demandez un constat officiel et gardez une copie de votre plainte.
Étape 3 — Contacter le préfet
- Adressez un courrier recommandé avec accusé de réception.
- Fournissez les preuves de propriété (titre de propriété, factures EDF, taxe foncière, etc.).
- La préfecture peut ordonner l’expulsion administrative dans certains cas.
Étape 4 — Faire appel à la justice
Si la préfecture ne peut pas agir directement :
- Saisissez le tribunal judiciaire.
- Demandez une ordonnance d’expulsion.
- Faites intervenir un huissier pour la signification.
⚖️ Délais : De quelques semaines à plusieurs mois selon la situation.
Étape 5 — Anticiper les délais et obstacles
- La trêve hivernale (1er novembre au 31 mars) bloque certaines expulsions, sauf si c’est votre domicile.
- Les squatteurs peuvent demander un délai de grâce (1 à 12 mois maximum).
- En cas de refus d’exécution, la préfecture peut être tenue responsable.
Étape 6 — Sécuriser son logement
Après une expulsion, pensez à :
- Changer les serrures.
- Installer une alarme ou un système de vidéosurveillance.
- Visiter régulièrement vos biens inoccupés.
Étape 7 — Prévenir plutôt que guérir
- Louer le logement vide (même temporairement) réduit le risque.
- Recourir à une société de gardiennage ou à la mise à disposition de « gardiens d’immeuble » peut éviter une occupation sauvage.
En conclusion
La multiplication des squats illégaux en France, mise en lumière par Valeurs Actuelles, prouve que ce phénomène n’est plus marginal. Les propriétaires doivent connaître leurs droits et les démarches à entreprendre.
➡️ En cas de squat, réactivité et rigueur juridique sont les clés pour récupérer son bien rapidement.
J’ai 70 ans. Et ce matin encore, je me réveille dans un petit appartement de fortune, loin de ma maison. Ma maison… celle que j’ai bâtie avec mes mains, avec des années de labeur, de sacrifices, de privations. Elle est toujours là, en France, dans ce quartier que je connais par cœur, mais je n’y ai plus accès depuis plus d’un an. Des inconnus y vivent, sans mon autorisation, et malgré toutes mes démarches, rien n’a changé.
Depuis plus de douze mois, ma maison est squattée.
👉 Une vie entière réduite à néant :
J’ai travaillé plus de quarante ans pour m’offrir ce toit. C’était mon rêve, mon refuge, le fruit d’une vie honnête. J’y ai vu mes enfants grandir, j’y ai partagé des repas de famille, j’y ai enterré des souvenirs précieux. Aujourd’hui, elle m’échappe.
Le pire, ce n’est pas seulement de ne plus pouvoir y vivre, mais de voir mes murs, mon jardin, mes meubles… entre les mains de gens qui ne m’ont jamais demandé l’autorisation.
👉 Les démarches épuisantes :
J’ai suivi chaque étape, comme un bon citoyen respectueux des lois :
✔️ J’ai porté plainte.
✔️ J’ai sollicité la préfecture avec des courriers recommandés, copies de mon titre de propriété à l’appui.
✔️ J’ai saisi le tribunal judiciaire, attendu, espéré.
✔️ Un huissier a constaté l’occupation illégale.
✔️ J’ai même demandé l’expulsion administrative.
Rien n’y fait. Les procédures sont interminables, les recours des squatteurs sans fin, et les autorités semblent fermer les yeux. Moi, je vieillis, je m’épuise, et je ne dors plus.
👉 Le sentiment d’injustice :
Comment se fait-il que dans mon propre pays, à 70 ans, après avoir payé impôts et cotisations toute ma vie, je doive supplier pour récupérer ce qui m’appartient ?
Je suis le propriétaire légal. J’ai des papiers, des preuves, une histoire. Et pourtant, ceux qui occupent illégalement mon logement ont plus de droits que moi. C’est ce que je ressens, au fond de mes entrailles, chaque soir quand je repense à cette maison inaccessible.
👉 Les conséquences sur ma vie :
Depuis que j’ai été chassé de chez moi, ma santé décline. Je dors mal, j’ai perdu du poids. Le stress me ronge. Mes enfants, eux aussi, sont désemparés. Comment expliquer à ses petits-enfants que “Papi ne peut plus rentrer chez lui parce que des étrangers s’y sont installés” ?
Chaque fois que je passe devant ma maison, c’est une déchirure. Les volets sont ouverts, les lumières allumées. J’entends parfois des voix, des rires. C’est comme si je regardais des intrus profiter de ce que j’ai mis toute ma vie à construire.
👉 Un appel au secours :
Je ne veux pas de haine. Je veux simplement qu’on respecte mon droit. Je veux retrouver mes murs, mon lit, mes souvenirs. À 70 ans, je ne devrais pas vivre dans cette angoisse permanente.
À l’heure où j’écris ces lignes, les squatteurs sont toujours dans ma maison. Et moi, je suis dehors. Ce témoignage, c’est mon cri du cœur, mon ultime appel pour que les choses changent enfin.