Pourquoi cette femme a-t-elle tout à coup ôté ses vêtements et déféqué en plein vol devant des dizaines de passagers terrifiés, comme si la cabine de l’avion était devenue son propre monde délirant ?
Chicago, 29 avril 2025 — Le ciel bleu paisible qui baignait les hublots du vol Southwest Airlines n°SWA1172 cachait mal la tempête qui allait s’abattre, non pas dehors, mais dans la cabine même de l’appareil.
À bord de cet avion commercial reliant Philadelphie à Chicago, rien ne laissait présager que ce mardi banal deviendrait le théâtre d’un événement aussi déroutant qu’incompréhensible. Il était 14H16 lorsque l’appareil a quitté le tarmac de Philadelphie, avec à son bord 134 passagers et 6 membres d’équipage. Parmi eux, une femme dans la quarantaine, vêtue d’un jean usé et d’un sweat rose, voyageait seule, assignée au siège 18B, à côté du hublot.
Son nom n’a pas été divulgué par les autorités, mais les passagers se souviendront longtemps de son visage, et surtout, de ce qu’elle a fait.
Le silence avant la tempête
Il était 14H43 quand tout a commencé. Selon le témoignage de Darren, un cadre informatique de 39 ans assis quelques rangs derrière, la femme avait soudain cessé de fixer son écran. « Elle s’est redressée, comme si elle venait de se souvenir de quelque chose. Puis elle a commencé à respirer fort. Très fort. » Au début, les passagers pensaient à une crise de panique. Mais très vite, l’ambiance s’est tendue.
Elle s’est levée d’un bond, a retiré son sweat, puis son jean, sans dire un mot. Le personnel de bord, interloqué, a tenté de s’interposer. Trop tard. La passagère s’était déjà dénudée, hurlant des propos incohérents. Et dans un geste que personne n’oubliera, elle s’est accroupie sur son siège… et a déféqué.
L’odeur de l’horreur
« Une odeur insoutenable s’est répandue dans la cabine, raconte Melissa, une étudiante en droit de 23 ans. Les gens criaient, se levaient, tentaient de fuir la scène comme s’il y avait un incendie. » Certains vomissent, d’autres pleurent. Un enfant hurle de terreur.
Un steward tente de raisonner la femme, mais celle-ci le repousse avec violence, le frappant avec un coussin imbibé d’excréments. « Elle riait comme une enfant, c’était surréaliste », confie un autre témoin.
Le pilote dévie le vol
Face à la gravité de la situation, le commandant de bord prend une décision radicale : Détourner l’avion vers l’aéroport le plus proche, Cleveland-Hopkins. Un message est transmis aux passagers, à moitié audibles à cause des cris et des sanglots.
Les hôtesses distribuent des masques chirurgicaux, du désinfectant, ferment la rangée concernée à l’aide de couvertures. Un médecin présent à bord tente de parler à la passagère, persuadé qu’elle souffre d’une crise psychotique. Elle ne répond plus. Elle sourit, nue, au milieu du chaos.
Atterrissage d’urgence et intervention musclée
À 15H22, l’appareil atterrit. Une escouade de policiers, agents de sécurité et membres du personnel médical monte à bord. La passagère est interpellée sans résistance. Elle chante en polonais – une langue que peu comprennent. On découvre qu’elle n’avait ni bagage en soute, ni pièce d’identité.
Les passagers sont évacués, certains en larmes, d’autres encore sous le choc. L’équipage est pris en charge par une cellule psychologique, tout comme les voyageurs les plus affectés.
L’enquête commence
Le FBI est saisi de l’affaire, comme le veut la procédure sur incidents aériens survenus à bord de vols inter-États. La compagnie Southwest Airlines publie un communiqué officiel, évoquant un « comportement imprévisible et extrême d’une passagère« , sans donner davantage de détails.
Les rumeurs enflent : Certains parlent de troubles mentaux, d’autres d’une substance hallucinogène dissimulée dans une boisson. Le nom de la passagère reste inconnu, mais son visage devient viral sur les réseaux, flouté mais omniprésent.
Et maintenant ?
Cet incident soulève de nombreuses questions. Faut-il renforcer les contrôles psychologiques avant un embarquement ? Les équipages sont-ils suffisamment formés pour gérer ce genre de crise ? Comment protéger les passagers dans des cas de comportements extrêmes ?
Une chose est sûre : Ce vol restera gravé dans l’histoire de l’aviation civile comme l’un des plus étranges jamais enregistrés.
Le silence qui suit le vacarme
Depuis l’affaire, la passagère a été internée en hôpital psychiatrique. Selon un porte-parole médical, elle souffrirait d’un trouble schizo-affectif sévère non diagnostiqué. Aucun antécédent judiciaire. Aucun avertissement. Juste une explosion psychotique… à 10 000 mètres d’altitude.
Et pour les passagers du vol SWA1172, il y aura toujours ce souvenir : Un ciel bleu, un vol ordinaire… et puis, ce moment où l’impossible s’est produit.