Elon Musk père de famille XXL : découvrez son étonnante philosophie démographique et le parcours de ses 14 enfants.

Elon Musk a-t-il vraiment 14 enfants ? La vie de famille méconnue du milliardaire dévoilée

SOCIETE

Sur les plateaux de télévision du monde entier, dans les conférences TED, au sein des usines futuristes de Tesla ou dans les pas feutrés du QG de SpaceX, Elon Musk fascine, déroute et provoque. Génie technologique pour les uns, entrepreneur mégalomane pour les autres, l’homme est omniprésent dans l’actualité économique et scientifique.

Mais au-delà des projecteurs et des tweets chocs, une autre facette de l’homme intrigue : Sa vie de père. Car oui, Elon Musk est aussi père — et pas d’un, ni de deux, ni de trois enfants. Quatorze. Oui, vous avez bien lu : 14 enfants issus de cinq relations différentes.

Alors que certains peinent à jongler entre vie professionnelle et familiale avec un ou deux bambins, le milliardaire sud-africain, à la tête d’un empire industriel, multiplie les naissances. Folie des grandeurs ? Véritable projet démographique ? Vision personnelle du monde ? Une plongée dans l’univers privé de Musk révèle un homme bien plus complexe que les clichés pourraient le laisser croire.

Nevada, le chagrin initial

L’histoire débute avec Justine Wilson, la première épouse d’Elon Musk. Mariés en 2000, ils vivent une histoire d’amour passionnée. Deux ans plus tard, leur premier enfant voit le jour : Nevada Alexander Musk.

Mais le bonheur sera de courte durée. À seulement 10 semaines, Nevada décède tragiquement du syndrome de mort subite du nourrisson. Une épreuve dévastatrice pour le couple. Elon, habituellement stoïque, avouera plus tard que cette perte l’a marqué à jamais. Une faille dans l’armure du géant technologique.

Les naissances en série

Le couple ne renonce pas à fonder une famille. Grâce à la fécondation in vitro, Justine et Elon accueillent ensuite :

  • Griffin Musk (2004), jumeau de Vivian Jenna Wilson (née Xavier Musk, en 2004, qui changera plus tard de nom et de genre),
  • Puis des triplés en 2006 : KaiSaxon et Damian Musk.

En l’espace de quelques années, la maison familiale se remplit de rires d’enfants et de couches-culottes. Mais le mariage s’effondre en 2008.

La parenthèse Grimes

Quelques années plus tard, Elon rencontre l’artiste canadienne Grimes (de son vrai nom Claire Boucher). Entre eux, l’alchimie est immédiate, étrange et hautement médiatisée.

De cette union naîtront trois enfants au prénom pour le moins… inattendu :

  • X Æ A-Xii Musk (2020), un prénom codé qui fera le tour du monde,
  • Exa Dark Sideræl Musk (2021), née via mère porteuse,
  • Techno Mechanicus Musk (surnommé Tau) en 2022.

Elon Musk assume alors pleinement son envie de contribuer à la démographie mondiale :

« Le déclin des taux de natalité est le plus grand danger pour la civilisation », martèle-t-il dans de nombreuses interviews.

Shivon Zilis, complice scientifique et mère de ses derniers enfants

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. En parallèle de sa relation avec Grimes, Musk tisse des liens étroits avec Shivon Zilis, cadre de Neuralink.

Avec elle, il aura :

  • Des jumeaux en 2021 : Strider et Azure Musk,
  • Une petite fille, Arcadia Musk en 2024,
  • Et un dernier fils, Seldon Lycurgus Musk, né en 2025.

Le tout dans une transparence relative, Elon Musk n’ayant jamais vraiment caché ces naissances, mais se contentant souvent de commentaires laconique sur X (anciennement Twitter).

Une paternité en mission ?

Au fil des années, les observateurs finissent par se poser une question vertigineuse : Pourquoi Elon Musk fait-il autant d’enfants ?

Ses réponses sont aussi tranchantes que sincères :

« Si les gens ne font pas plus d’enfants, la civilisation va s’effondrer. »

Pour Musk, chaque nouvelle naissance est presque un acte militant face à ce qu’il perçoit comme un danger existentiel. Il ne s’agit donc pas seulement d’un désir personnel, mais d’une mission qu’il s’est assignée.

Bien entendu, cette philosophie fait grincer des dents. Ses détracteurs dénoncent une vision quasi eugéniste et une paternité incompatible avec ses responsabilités professionnelles. Comment être père de 14 enfants quand on dirige SpaceX, Tesla, Neuralink, XAI et Twitter ? Comment accorder du temps de qualité à autant de jeunes vies ?

Une famille tentaculaire et éclatée

Dans les faits, la tribu Musk est éclatée entre plusieurs foyers. Certains enfants vivent aux États-Unis, d’autres au Canada. Le milliardaire s’efforce néanmoins de maintenir des liens :

  • Il aurait des créneaux précis dédiés aux appels vidéo.
  • Ses enfants participeraient à des événements familiaux ponctuels.
  • Elon Musk a également créé sa propre école privée expérimentale, Ad Astra, afin d’offrir une éducation sur-mesure à certains de ses enfants.

Un père hors norme

À 53 ans, Elon Musk est aujourd’hui père de 14 enfants. Une donnée qui défie les statistiques et interroge nos conceptions modernes de la parentalité.

Est-il un bon père ? Nul ne peut le dire avec certitude. Mais une chose est sûre : Derrière l’image du visionnaire un peu fou se cache un homme habité par un étrange impératif démographique, qui écrit chaque jour un peu plus une histoire familiale hors du commun.

Et tandis que le monde continue de débattre de ses tweets et de ses projets martiens, quelque part dans les villas de Californie ou de l’Ontario, une ribambelle de jeunes Musk grandit à l’ombre d’un père aussi absent que mythique.

Laisser un commentaire