Mélina : « Et si un simple retrait de billets devenait l’acte de résistance le plus puissant de notre époque ? Le 10 septembre 2025, oserons-nous éteindre nos cartes bancaires pour allumer la flamme de notre souveraineté financière ? »
💥 Le 10 septembre 2025 approche. Et cette fois, pas de cortège dans les rues. Pas de banderoles. Pas de grilles d’usine bloquées. La révolution, cette fois, se jouera en silence, devant un distributeur automatique.
Un à un, les billets glisseront entre les doigts. Et chaque retrait deviendra un acte politique. Une riposte douce mais tranchante contre un système bancaire que certains accusent de tout contrôler : Nos dépenses, nos données, nos vies.
Le mot d’ordre est simple : “Retirez du liquide. Payez en espèces. Refusez la carte.”
Un appel citoyen à la “grève de la carte bleue”, lancé sous le hashtag viral #10SeptembreSansCB, circule sur les réseaux sociaux, les groupes Telegram et les forums alternatifs.
🎯 Une action ciblée, un impact massif
L’affiche qui fait le tour d’Internet est claire : Si 10 millions de Français jouent le jeu pendant un mois, cela représenterait :
- 15 milliards d’euros détournés du système bancaire,
- 6 milliards d’euros “évaporés” en tracking, commissions, frais bancaires et traitement des données clients.
Pas besoin de casser une vitrine. Il suffit de dire non à la carte, le temps d’un mois.
📉 Un système à bout de souffle ?
La promesse ? Reprendre le pouvoir sur notre argent, dans un monde où chaque paiement par carte laisse une trace, chaque transaction est analysée, monétisée, exploitée.
Dans un monde où payer en liquide devient presque suspect, où les petits commerces sont poussés à imposer des terminaux électroniques, où le refus du numérique est perçu comme un anachronisme, presque une rébellion.
Mais cette fois, cette rébellion est organisée, calmement, légalement, sans violence. Elle ne vise pas à détruire, mais à questionner.
Pourquoi le liquide disparaît-il si vite de nos poches ? Pourquoi tout passe-t-il par la carte, le téléphone, les applis ?
👁️ Un œil sur chaque centime
En arrière-plan, un débat bien plus large se dessine : Le contrôle numérique des citoyens.
Chaque paiement CB alimente des bases de données bancaires, des profils publicitaires, des scores de crédit.
Les banques connaissent nos habitudes, nos préférences, nos heures d’achat, nos trajets, nos faiblesses.
Et pendant ce temps, les commissions bancaires s’accumulent : Quelques centimes par-ci, quelques pourcents par-là. Une mine d’or silencieuse.
🧯 Le cash, dernier rempart de la liberté ?
Ce que propose cette grève, c’est un retour aux fondamentaux : L’argent liquide.
Ni traçable, ni enregistrable. Un billet ne demande pas de code PIN, ne peut pas être bloqué, ne vous espionne pas.
Ce billet que l’on glisse dans une main est le même depuis des siècles : Un symbole de liberté d’échange, d’anonymat, de souveraineté.
Le liquide, c’est le droit de ne pas être profilé. C’est le droit de donner sans être noté. C’est le droit d’acheter sans être ciblé.
📊 Un mois pour voir ce que le système encaisse
“Le système ne tient que si on joue avec ses règles”, proclame l’affiche.
Alors, et si on arrêtait de jouer ? Un mois. Pas plus.
- Plus de paiements en CB.
- Plus de tickets restaurants dématérialisés.
- Plus d’applis de paiement mobile.
Juste du liquide. Du concret. Du palpable.
Et si l’on en croit les chiffres avancés par les initiateurs du mouvement, le système pourrait trembler.
⚖️ Une action légale, sans risque… mais redoutée ?
À première vue, rien d’illégal.
Il est parfaitement autorisé de retirer du liquide. Il est parfaitement autorisé de payer en espèces. Et pourtant, cette campagne dérange.
Pourquoi ? Parce qu’elle est simple. Parce qu’elle est faisable. Parce qu’elle est virale.
Elle ne nécessite ni syndicat, ni parti, ni leader. Elle repose sur le pouvoir individuel de chacun.
Un pouvoir que beaucoup ont oublié… ou se sont laissé confisquer.
🧠 Une prise de conscience collective
Plus qu’un simple boycott bancaire, #10SeptembreSansCB devient un symbole : Celui d’un peuple qui reprend en main ses choix économiques.
Et si la monnaie ne servait pas uniquement à acheter, mais aussi à protester ?
Et si chaque billet retiré devenait un bulletin de vote silencieux contre un système jugé intrusif, gourmand, déconnecté ?
📅 Mode d’emploi pour participer :
- 💳 Stoppez l’usage de votre carte bleue à partir du 10 septembre.
- 🏧 Retirez du liquide dès maintenant.
- 🛒 Payez en espèces partout où c’est encore accepté.
- 📣 Parlez-en autour de vous.
📌 Le mot de la fin
Dans une société toujours plus digitalisée, surveillée, automatisée, refuser la carte bleue le temps d’un mois n’est pas un retour en arrière. C’est un acte de lucidité.
Ce n’est pas une révolte. C’est une pause. Un rappel. Un signal fort.
Le 10 septembre, vous avez le pouvoir de dire non !
Et si, cette fois, le pouvoir ne passait pas par un vote… mais par un simple retrait d’espèces ?

J’adore le concept 😍 ! Un peu rebelle, un peu vintage. J’ai sorti mon porte-monnaie en cuir et ça fait super stylé sur mes stories. Bon, je paie quand même mon Uber en carte hein, faut pas déconner 😅
C’est mignon comme idée, mais complètement à côté de la plaque. Le numérique, c’est l’avenir. Le cash, c’est lent, risqué, dépassé. Je préfère mille fois payer sans contact que faire la queue au DAB.
Moi je dis bravo ! Les gens râlent mais oublient qu’ils ont le choix. Le cash, c’est plus de travail pour nous, mais au moins c’est concret. Et j’en ai marre que tout passe par des machines.
Ah oui, bien sûr, si vous voulez vraiment échapper au “système”, commencez par jeter votre smartphone, résiliez votre box internet, fuyez les supermarchés (trop de caméras), ne mettez plus d’essence (à moins d’avoir un cheval), dites adieu aux autoroutes, aux trains, aux avions, et surtout… n’ouvrez plus vos volets : EDF sait exactement à quelle heure vous allumez la lumière.
Alors oui, payez en liquide si ça vous amuse. Mais tant qu’à faire, planquez-vous dans une grotte sans électricité ni Wi-Fi.
Sérieusement… vous vivez sur quelle planète
Payer en liquide devient presque suspect maintenant. La drogue , le blanchiment d’argent, le terrorisme sont des motifs qui arrangent bien le gouvernement et l’UE.
On parle également de la suppression des chèques…..
Les établissements financiers (auxiliaires de Bercy/tracfin) décident des montants à prélever sur VOTRE compte.
Le contrôle numérique du citoyen arrivent à grands pas. Revenons aux paiements espèces, surtout pour régler sa baguette de pain par exemple. D’autre part, ce moyen permet de mieux gérer son budget.
On ne parle pas d’un délire complotiste. Juste d’un geste simple, légal, et puissant. Le cash, c’est la désobéissance tranquille.
Chaque paiement par carte me coûte des frais. Les petits commerçants souffrent. Moi, je dis merci aux gens qui paient en espèces.
Le cash, c’est le dernier bastion de la vie privée. Le supprimer, c’est ouvrir la porte à un monde sous contrôle total. Ce mouvement est essentiel.
Je donne de l’argent de poche en liquide à mes enfants, pas en virement. Pourquoi je devrais tout faire par carte ? Ce boycott, c’est juste du bon sens.
J’ai vu de l’intérieur comment les données bancaires sont exploitées. Rien ne leur échappe. Ce mouvement, c’est une bouffée d’air pour tous ceux qui veulent encore rester maîtres de leur vie.
Je n’ai jamais voulu de carte bleue. Quand je vois mes petits-enfants payer avec leur téléphone, ça me fait peur. Je suis contente que les jeunes s’y mettent aussi.
On nous parle de cashless, mais moi, j’en ai marre de bosser pour des applis qui prennent tout. En espèces, je contrôle ce que je gagne. Je soutiens la grève à fond.
Les banques se gavent sur notre dos. Commissions, frais, surveillance… Stop. J’ai retiré 500 euros pour le mois, et je vais me débrouiller comme avant.
C’est la première fois que je peux participer à une forme de contestation sans avoir à défiler. Mon arme ? Un billet de 20 euros. Je suis partant à 100% !
Je n’avais jamais réalisé à quel point on était pistés… Chaque achat, chaque café, chaque plein d’essence. Avec le liquide, je redeviens invisible. Et franchement, ça fait du bien.
Depuis des années, je vois les banques me prélever des commissions à chaque paiement CB. À la fin de l’année, ça chiffre ! Pour une fois qu’on peut agir sans bloquer les routes, je dis banco.
Le cash, c’est la liberté. Avant, on vivait très bien sans carte bleue. C’est pas un retour en arrière, c’est un retour à la dignité.