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Prison de la Santé : Nicolas Sarkozy croule sous les cadeaux, les gardiens n’en peuvent plus !

INSOLITE

Depuis son arrivée à la prison de la Santé, il reçoit chaque jour une avalanche de cadeaux et de marques d’attention. Un phénomène inédit qui laisse le personnel totalement débordé.

Depuis son arrivée à la prison de la Santé, l’ancien président de la République suscite un engouement inattendu. Des dizaines, parfois des centaines de colis et de lettres affluent chaque jour à son nom. Un phénomène qui dépasse de loin les habitudes du milieu carcéral, au point d’en désorganiser le fonctionnement interne.

Selon plusieurs sources proches de l’établissement, le service du courrier aurait été contraint de réaménager ses procédures pour faire face à cet afflux massif. “On n’a jamais vu ça. Même les détenus les plus médiatisés n’ont pas reçu autant de marques d’attention”, confie un agent pénitentiaire épuisé.

Ces envois proviennent de toute la France. De simples anonymes, des soutiens de longue date, ou encore des admirateurs touchés par son sort. Certains y voient un geste politique, d’autres une forme d’attachement personnel à une figure publique qui, malgré la détention, continue de susciter fascination et loyauté.

Le personnel de la prison, lui, se dit “dépassé”. Les agents chargés de la réception et du tri ne parviennent plus à suivre le rythme. Les piles de colis s’accumulent, les lettres s’entassent, et les couloirs ressemblent parfois à un entrepôt improvisé. “On passe nos journées à tout classer. On n’a jamais géré autant d’envois pour une seule personne”, ajoute un surveillant.

Derrière ce phénomène, c’est aussi une certaine image du pouvoir qui refait surface. Celle d’un ancien chef d’État, aujourd’hui détenu, mais toujours au centre de l’attention nationale. L’administration pénitentiaire, soucieuse d’équité, tente d’éviter tout traitement particulier, tout en gérant une situation devenue symboliquement explosive.

Certains observateurs y voient un signe de la polarisation de l’opinion française : Entre compassion, nostalgie et fidélité politique, la détention d’un ancien président devient un miroir des émotions collectives. À la prison de la Santé, on s’organise. Les règles restent les mêmes, mais les volumes, eux, explosent.

Un surveillant résume la situation avec une pointe d’humour : “C’est la première fois qu’un détenu fait travailler autant le service postal.”

Entre admiration populaire et logistique débordée, cette affaire rappelle qu’en France, même derrière les barreaux, la notoriété reste une puissance difficile à contenir.

Source : Public

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