“Lorsqu’un génie visionnaire plonge dans l’ombre des psychotropes, faut-il s’inquiéter pour la démocratie ou applaudir son génie dérangé ?”
Une nuit de 2024
Quelque part dans un manoir californien, aux murs tapissés d’écrans de données boursières et de croquis interplanétaires, un homme rit. Ses pupilles sont dilatées, ses pensées s’échappent, galopent vers des mondes lointains. L’homme, ce n’est pas un acteur ou un rockeur décadent. C’est Elon Musk, le milliardaire aux mille entreprises, l’architecte de demain, le magnat d’hier, et – depuis peu – le compagnon de route officieux de Donald Trump dans sa reconquête de la présidence.
Le Guardian, relayé par Le Parisien, a levé un coin du rideau. Et ce qu’ils ont trouvé derrière est vertigineux : Un Elon Musk apparemment immergé dans une consommation soutenue de kétamine, d’ecstasy et de champignons hallucinogènes, au moment même où ses tweets influençaient les marchés, où ses prises de parole servaient de carburant à l’extrême droite américaine.
Un génie sous influence psychédélique ?
Ce n’est pas la première fois que le nom de Musk est associé à des substances psychotropes. Mais jamais les révélations n’avaient atteint une telle ampleur. Plusieurs sources internes ont décrit un homme souvent « hors de lui », en état second lors de réunions décisives, parfois allongé sur le sol d’un bureau transformé en salle de méditation aux néons acidulés. On parle de microdoses… et parfois de macrodoses, administrées lors de véritables cérémonies chamaniques privées, réunissant ingénieurs, influenceurs, investisseurs et stratèges politiques.
Alors, que cherchait vraiment Elon Musk ? Une échappatoire à la pression constante ? Une source d’inspiration créative ? Ou un moyen de flirter avec l’irrationnel pour mieux manipuler le réel ?
La campagne Trump : Un terrain propice à tous les excès
Au même moment, Donald Trump préparait son retour.
Réseaux alternatifs, médias complotistes, think tanks ultra-conservateurs : tout un écosystème s’agitait dans l’ombre, et Elon Musk en devenait l’icône numérique. Grâce à son rachat de Twitter rebaptisé X, il offre un canal direct, brut, sans filtre, à une droite décomplexée et dopée à la désinformation.
Mais était-il seulement lucide ? Selon certaines indiscrétions, les décisions stratégiques les plus importantes de Musk auraient été prises sous l’emprise de substances. Une stratégie de modération sur X révisée à 3h du matin après un trip sous champignons. Des levées de fonds pour Neuralink validées dans une euphorie extatique. Des interactions en direct avec des partisans de Trump, ponctuées de regards évasifs et de ricanements absurdes…
La Silicon Valley embarrassée, la Maison Blanche inquiète
Ces révélations créent un malaise profond dans les cercles de pouvoir.
Tesla chute en bourse. SpaceX voit ses contrats avec la NASA remis en question. Et au Capitole, certains Républicains commencent à murmurer : “On ne peut pas construire une révolution conservatrice sur un trip de LSD.”
Plus inquiétant encore : Les agences de renseignement américaines s’interrogent sur la vulnérabilité d’un homme aussi exposé, aussi puissant, mais potentiellement instable. À quel moment ses expérimentations ont-elles mis en danger la sécurité nationale ? Les données de X ? Les secrets industriels de Starlink ? L’autonomie des Tesla ?
Élucubrations ou réalité ?
Du côté d’Elon Musk, c’est le silence. Ou presque.
Un émoji clown posté à 4h42 du matin. Une citation de Nietzsche tweetée sans contexte. Et surtout, aucun démenti officiel. Ses proches, eux, relativisent : “Elon a toujours été un explorateur. Il explore aussi les frontières de la conscience.” D’autres, plus critiques, parlent de dérive autoritaire sous influence hallucinogène, de génie devenu “dieu en transe”, persuadé de détenir la vérité absolue – ou l’algorithme du chaos.
Faut-il s’inquiéter ?
Le débat est ouvert. Entre ceux qui voient dans ces révélations une tentative d’assassinat médiatique orchestrée par les ennemis de Musk, et ceux qui y lisent le symptôme d’une élite déconnectée, dangereuse, et intouchable, une chose est certaine : L’icône Elon Musk n’est plus ce qu’elle était.
Est-ce la chute d’un titan ou l’éveil d’un nouveau prophète halluciné ?
Quand la politique se mélange à la poudre
Ce scandale n’est pas anodin. Il résonne bien au-delà des États-Unis. Il interroge sur notre époque, notre rapport à la puissance, à la technologie, à la vérité. Si un homme comme Elon Musk peut agir sous influence, alors quels rêves ou cauchemars peut-il imposer au reste du monde ?
Car dans une démocratie moderne, la ligne est mince entre le génie visionnaire et le délire incontrôlé. Et si cette ligne est tracée à la poudre blanche ou au fond d’un gobelet de champignons broyés, alors il est urgent, vraiment urgent, d’ouvrir les yeux.
